Le scénariste parisien Paul Javal et son épouse Camille rejoignent le réalisateur Fritz Lang en tournage pour le compte du producteur de cinéma américain Jeremy Prokosch, sur le plateau du film Ulysse (une adaptation de l’Odyssée) en chantier à la villa Malaparte à Capri en Italie.
Il est proposé à Paul Javal de reprendre et de terminer le scénario du film. Camille n'est pas très heureuse de ce long voyage de travail impromptu, loin de chez elle, parmi des inconnus. Durant le séjour, Paul Javal laisse le riche et séduisant producteur seul avec Camille, alors qu'elle, intimidée, insiste pour demeurer auprès de Paul. À tort, Camille s'imagine que son mari la pousse dans le lit du producteur pour obtenir le travail de réécriture du scénario. De là naissent des malentendus, le mépris, et leur couple vole en éclats.
(source : Wikipedia)
Adapté du livre Le mépris de Alberto Moravia
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Petit rôle
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
C'est chiant et atrocement mal joué, les dialogues sont pour la plupart insipides et semblent tout droit sortis de la bouche d'abrutis pathologiques consanguins... En plus d'être d'un mauvais goût flagrant (enfin, dans les années 60 c'était peut-être super de peindre les yeux de statues grecques en rouge ou en bleu ou de coller des filtres de couleur sur l'image), d'avoir une bande originale composée d'une seule et unique musique, et de proposer un son plus qu'atroce empêchant de capter certains dialogues (enfin... pour ce qu'on perd au final c'est peut-être pas plus mal comme ça !), l'histoire est emmerdante au possible, sûrement parce que les acteurs n'ont pas l'air de croire une seule seconde à ce qu'ils racontent. Mention à Brigitte Bardot particulièrement mauvaise.
... Tu retires les dialogues, tout mis à part (si ce n'est la prise de son qui est désastreuse à certains moment, récurrence chez les Godards )... C'est beau !
Un extrait, par ci, par là... C'est beau ! C'est culte même !
Mais le tout mis bout à bout, c'est d'un chiant... Complètement emmerdifiant...
(https://youtu.be/kpVnkCa9Ov4?t=5m41s )
Et cette arrogance à prendre le spectateur lambda pour un con (si vous ne comprenez pas mon film, allez vous faire foutre, c'est de l'art) mais GODARD JE TE CHIE SUR LE FRONT !
Même avis que Benben. Que c'est mauvais ! Comment Bardot a-t-elle pu être vraiment reconnue comme actrice ? Un joli visage et un regard lourd ne suffisent pas ! Remarque, ça a peut-être été relevé étant donné la quantité de scènes dénudées...
Je ne peux donner que 4 points et uniquement pour l'originalité du générique.
Le reste d'une lenteur lancinante, si désagréable à suivre. Dire que c'est l'une des références de la Nouvelle Vague...
La bande-son est un supplice. Je suis pourtant adepte du principe du morceau unique qui intervient de temps à autres pour accompagner un passage, mais pas comme ça!
On nous balance le même air toutes les cinq minutes, si fort qu'on en rate les dialogues, une telle boulette dès l'ouverture a fait baisser mes attentes instantanément. Une bonne chose au vu du spectacle lamentable qui allait s'en suivre.
Je ne suis pas (du tout) une fan de Godard mais je trouve qu'il y a pas mal de choses intéressantes dans ce film : quelques petits moments de pures expériences visuelles, un regard critique sur le cinéma, une bande-son culte et une réinterprétation assez folle de l'Odyssée. Le film est un peu pédant (c'est du Godard...) et il y a des longueurs, mais tout n'est pas à mettre à la poubelle.
Trèèèèès abrupt comme film. Le son est effectivement horrible, le rythme est lent au possible mais tout n'est effectivement pas à jeter.
On sent que Godard cherche des choses, et replacé dans son contexte la critique sur le devenir du cinéma grand public me semble extrêmement pertinente.
Pour ma part, j'ai bien aimé la BO et surtout le jeu d'acteur, servi par des dialogues parfois trop pompeux, parfois d'une justesse incroyable.
La force et le problème de ce film, c'est que Godard ne fait pas du cinéma pour les autres mais pour lui-même j'ai l'impression. Des fois ça fait mouche, des fois on a l'impression d'assister à une séance d'auto-fellation !