Le célèbre Edgar de la Cambriole est un voleur virtuose. Accompagné de son ami Jigen Daisuke, il parvient à dérober le coffre fort du casino de Monte-Carlo. L'euphorie des deux compagnons face à cette réussite laisse place au désarroi lorsqu'ils réalisent que tous les billets sont faux. L'intuition d'Edgar le mène, lui et Jigen, à la petite principauté de Cagliostro, soupçonnant le comte de Cagliostro d'être a l'origine de la fabrication de cette fausse monnaie.
Rôle principal
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Rôle secondaire
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Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à Franz26 qui a créé cette fiche
Le synopsis d'Allociné est foireux. Celui de Wikipedia est au top par contre :http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Ch%C3%A2teau_de_Cagliostro Bon sinon, le film en lui même est typique des animes de années 70, mais il n'a vraiment pas mal vieilli. Par contre j'ai du me farcir une VF atroce... avec environ 5 ou 6 voix pour tous les personnages mouahaha !
Encore une petite madeleine de Proust (même si je l'ai vu pour la première fois au moins 25 ans après sa sortie) j'adore ce film. Beaucoup diront qu'il n'est pas au niveau des autres Miyazaki, mais personnellement j'aime aussi, même si c'est totalement différent. (et la VF ne me dérange pas tant que ça, je ne savais pas encore lire quand je le regardais donc je me suis bien habituée à la VF, comme pour tous les autres Miyazaki)
Vraiment sympa, ce film est rempli de référence, c'est vraiment marrant de chercher les éléments récurant des films de Miyasaki! Plus de chouette point comme le fait de voir deux personnages féminin intéressant, et une critique de la société actuelle sous-jacente.
Pareil, j'ai eu un doublage affreux, Clarisse me sortait par les yeux^^ Bon sinon, histoire très bateau : le preux chevalier qui tente de sauver la princesse... Ce film manquait clairement de charme.
Certes les esprits chagrins feront remarquer que l'animation a un peu vieilli. Et pourtant pas tant que ça quand on pense que ce film a désormais plus de 40 ans. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître de Miyazaki (qui s'était déjà exercé sur des séries) qui allait propulser son auteur parmi les hautes sphères se l'animation japonaise. Il se dégage une sorte de poésie nostalgique et douce au charme assez indéfinissable. Le film n'en est pas moins excellemment rythmé et aborde beaucoup des thématiques qui constitueront le fil conducteur de l'œuvre de Miyazaki: le rapport de l'homme à la nature et à la technique, les machines volantes, le sens de la justice et de la transmission...Le personnage central et trublion de Lupin, beaucoup plus profond qu'il n'y paraît au premier abord, apporte fraîcheur et humour, en contraste au sombre, mystérieux et cupide Cagliostro. Délicieuse partition de Yuji Ohno, un autre grand monsieur du genre.