Octave Parango est "model scout" à Moscou. Ce cynique individu chasse les mannequins russes pour le compte de ses amis oligarques… jusqu'au jour où il est contacté par L'Idéal, la première entreprise de cosmétiques au monde, secouée par un gigantesque scandale médiatique. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Non renseigné
je suis vraiment partagé.
La première partie est drôle, la dernière est vraiment touchante, mais ce film a un petit goût de e ne sais quoi qui ne me revient pas. J'ai vraiment eu l'impression d'assister à une comédie française lambda, bien enrobée dans un univers "begbedien", mais rien de plus. La critique du monde de la mode n'est jamais aboutie, et il y a au final un sentiment de pas assez qui sort de ce film. Dommage.
Ne surtout pas regarder après "99 francs", premier film tiré d'une oeuvre de Beigbeder, car tout dans ce film vous paraîtra fade:
Réalisation, effets spéciaux, imaginaire "psychédélique", jeux des acteurs (Gaspard Proust ne tient vraiment pas la route, ne séduit pas, n'attendrit pas), rien ne tient la comparaison surtout pas le scénario bien trop classique et plat.
Parler de la beauté et de ses codes en présentant une image aussi peu vivante c'est quand même bien dommage. Entre ce film et "99 francs" le gouffre est abyssal !
J'adore Gaspard Proust et Audrey Fleurot qui jouent bien leur rôle mais même si le film décrie l'horreur de la beauté unique dans l'univers de la mode et des cosmétiques, il ne m'a pas réellement convaincue sachant que Frédéric Beigbeder continue de suivre ce modèle dans son travail. Et puis le tout se montre cliché avec, de plus, la deuxième partie du film beaucoup trop cul-cul face à cet univers se voulant trash.
Un film totalement "Bobo" qui se veut un pastiche humoristique des grandes marques de cosmétiques. Indigeste et vulgaire. Qui plus est avec un humour très discutable. Je suis déçu de trouver Audrey Fleurot dans un des rôles principaux. Bon, Rosa, tente d'oublier...