Oliver Stone Oliver Stone, Daniel Pyne et John Logan Al Pacino, Cameron Diaz, Dennis Quaid...
C'est la descente aux enfers pour les Miami Sharks, une équipe de football américain qui subit une série de revers. Pour se maintenir à son poste, l'entraîneur qui commence à être sérieusement contesté fait jouer un débutant talentueux. À travers cette fresque sur les enjeux du football américain, le réalisateur dresse un bilan des névroses de l'Amérique.
Al PacinoRôle principal
Cameron DiazRôle principal
Dennis QuaidRôle secondaire
James WoodsRôle secondaire
Jamie FoxxRôle secondaire
LL Cool JRôle secondaire
John C. McGinleyRôle secondaire
Elizabeth BerkleyRôle secondaire
Aaron EckhartRôle tertiaire
Lawrence TaylorRôle tertiaire
Bill BellamyRôle tertiaire
Lela RochonRôle tertiaire
Oliver StonePetit rôle
Matthew ModinePetit rôle
Jim BrownPetit rôle
Lauren HollyPetit rôle
Charlton HestonPetit rôle
Ann-MargretPetit rôle
Andrew BryniarskiPetit rôle
Duane MartinPetit rôle
Nichole GaliciaApparition
Merci à Touket qui a créé cette fiche
scénario simple mais efficace, et j'ai bien aimé voir Al Pacino en entraineur, ça le change un peu ! ps : peut-etre un peu long !
Faire un film sur une bande d'attardés utilisés à des fins financiers, à qui on fait croire qu'ils font quelque chose d'énorme, digne des actes les plus héroïques qui soient, en leur bourrant le mou avec des conneries limite patriotiques... Connaissant Oliver Stone, je m'attendais à quelque chose de plus acerbe sur le monde du sport surmédiatisé, et surement pas à l'éloge de la stupidité étalée pour contenter la populace abrutie. Demeure une mise en scène assez musclée, carrément bourrine parfois, et une overdose de "musiques" d'un goût douteux en fond sonore. Certaines répliques sont cependant excellentes =)
Ca manque de subtilité tout ça dis donc. Oliver Stone égratigne du bout des doigts la célébrité, ses conséquences mais sans réellement aller dans le fond des choses. On reste en surface. La comparaison entre un match de sport et la guerre me paraît tout de même abusée, en terme d'enjeux.
Bref, heureusement y a Al Pacino.