A Thiers, dans le Puy de Dôme, une poignée d'enfants vivent les dernières semaines de l'année scolaire en attendant les vacances avec impatience: Bruno, Patrick, Laurent, Mathieu ou encore Franck, sans oublier Martine...Tous vivent à leur rythme et donnent une âme à ce village où les deux instituteurs, Melle Petit et M. Richet, tentent tant bien que mal de capter leur attention à l'approche de la colonie de vacances. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Compliqué d'expliquer en quoi L'argent de poche est si bon. Essayons.
L'ode à l'enfance qui s'étend sur toute la filmographie de Truffaut n'a jamais été aussi attendrissante, une galerie de portraits pétillante que j'ai préféré à la gravité sous-jacente des 400 coups.
Il sait tisser ses récits avec juste assez de nostalgie pour émouvoir sans tomber dans la facilité, pas facile pourtant.
À nouveau les premiers émois, les bandes de copains, les interactions bancales avec l'univers obscur des adultes... Thème classique, mais dur de s'en lasser. Et comme accompagnement, ces mélodies mutines qui rendent la mélancolie douce, celle qui revient comme un refrain dans les films de Truffaut et que fichtre, j'adore.