Le flamboyant, narcissique et prétentieux showman C.B. Denham affrète le S.S. Java Queen pour une expédition qui va servir de sujet à son prochain film et qui doit avoir pour vedette Ann Darrow, une starlette affamée qu’il a extirpé des rue du New York de la grande dépression. A bord du bateau se trouvent aussi le second Jack Driscoll, le garçon de cabine Ricky, l’assistant maladroit de Denham, Roscoe et un équipage plutôt inquiet de charger une cargaison presque uniquement constituée d’armes à feu et de bombes à gaz.
Ils finissent par atteindre l’Ile du Crâne dans les mers du sud, territoire d’un légendaire « dieu-singe ». Mais l’exploration de l’île est rapidement interrompue par l’arrivée d’indigènes plutôt hostiles. A la nuit tombée, peu après un début de romance entre Ann et Jack, les indigènes grimpent à bord du bateau et enlèvent Ann qu’ils veulent offrir en sacrifice à leur dieu : Kong. L’équipage se lance à leur poursuite mais à juste le temps d’apercevoir Kong, un singe géant, s’emparer de Ann pour l’emporter dans la jungle. Jack décide de faire cavalier seul et s’aventure dans une caverne qui traverse l’île dans l’espoir de retrouver Kong et de sauver sa bien aimée. Pendant ce temps, Denham et Roscoe essayent de capturer Kong sur pellicule mais leurs efforts sont constamment anéantis par la maladresse de Roscoe. Jack sauve Ann des griffes du grand singe et la ramène sur la plage où les hommes d’équipage s’arrangent pour endormir l’animal avec des grenades soporifiques alors que le volcan de l’île entre en éruption.
A New York, C.B. Denham présente Kong à Broadway mais le choc de la première excite Kong qui brise ses chaines à la recherche de Ann. Après quelques mésaventures dans les rue de New York, Kong retrouve Ann et l’emporte au sommet de l’Empire State Building mais des biplans ouvrent le feu sur lui. Kong réussit à s’en débarrasser et l’armée finit par envoyer deux ballons dirigeables entre lesquels est tendu un filet. Cette fois-ci l’opération est un succès, le gorille est attrapé mais le filet se déchire et Kong fait une chute vertigineuse à laquelle il survivra néanmoins. Alors que C.B. prononce le désormais célèbre « c’est la belle qui a tué la bête », Kong, qui est seulement blessé, ouvre les yeux.
Source : king-kong.fansforum.info
Rôle principal
Rôle principal
Non renseigné
Merci à ziggystar qui a créé cette fiche