M’enfin ! Gaston débarque en stage au Peticoin.
Avec ces inventions délirantes, il va changer le quotidien de ses collègues.
Chat, mouette, vache, et gaffophone seront au rendez-vous des aventures de notre bricoleur de génie qui ne pense qu’à faire le bien autour de lui mais qui a le don d’énerver Prunelle son patron.
Les gaffes à gogo de notre empêcheur de travailler en rond pourront-elles éviter que le redoutable Monsieur de Mesmaeker rachète le Peticoin ?
(Source : Allociné)
Adapté de la série de bds Gaston
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Bon Scott qui a créé cette fiche
Rien que la bande-annonce fait peur ! C'est quoi cette mode du cinéma français ces dernières années de piller les licences du 9e arts les plus connus dans nos contrés pour en faire des comédies en prise de vu réel la plus part du temps peu inspirée ?
J'ai un certain seuil de tolérance et reconnait tout à fait qu'une adaptation peu s'éloigner pas mal de l’œuvre originale et être quand même appréciable (Gosciny aurait peut être été amusé du délire de Alain Chabat sur son "Astérix" après tout) mais là, que ce soit ce "Gaston Lagaffe" ou "Spirou et Fantasio"... Pourquoi ? Pourquoi s'obstiner à adapter en prise de vu réel des œuvres dont une grande part de leur succès est lié au montage et maitrise graphique de leurs auteurs ? Un format anime ne serait il pas plus approprié ? Des œuvres comme "Gaston" ou "Boule et Bill" sont à l'origine essentiellement des gags sur une page (même à peine une demi page à l'origine pour Gaston), n'est ce pas des plus casse gueule à adapter sur un long format ("Spirou et Fantasio" n'a même pas cette excuse) ?
Je n'ai pas encore eu la (mal)chance d’admirer le résultat dans son intégralité mais je soupçonne qu'il ferra autant l'unanimité que "Fais gaffe à la gaffe !" de Paul Boujenah en son temps.
Un des pire film qui m'est été donné de voir au cinéma, sincèrement. Après la réussite en demi teinte qu'était le Petit Spirou, j'avais un peu repris confiance niveau adaptation de BD. Erreur !
Rien ne fonctionne dans ce film, qui se contente d’enchaîner les gags sans intérêts (puisque 80% d'entre eux consistent à des personnes qui tombent bêtement) en oubliant un quelconque fil rouge qui aurait pu sauver cette narration branlante.
Les acteurs cabotinent sans que personne ne puisse surnager dans cet océan de merde. J'ai mis 2 points pour la DA, puisque les costumes ont au moins le goût d'être dans l'esprit de la BD.
Ni le pire, ni le meilleur, film de l'année. J'ai apprécié des petits riens.. comme l'acteur qui joue Gaston.. ou l'adaptation à notre époque.. mais je suis restée sur ma faim pour tout le reste, avec parfois de grosses déceptions.
Ca marche bien en BD, beaucoup moins en film.
Toutefois j'apprécie comme Angélique l'adaptation au monde moderne, et l'acteur qui a su s'imprégner du rôle.
ça m'a pas fait rire, ça manque d'inspiration, les personnages sont creux.
Franchement en désaccord avec tous les commentaires précédents. Et pourtant je craignais également le pire s'agissant d'une adaptation de BD franco-belge toujours périlleuse. Et là, réussite inattendue: non seulement la mise en scène réussit à peu près à respecter le format par séquences courtes de la BD (toute la difficulté du film à sketches qui est à mon sens un des points faibles de la récente adaptation du Petit Spirou - raison pour laquelle il n'y a pas de fil rouge si ce n'est la tentative de rachat par Demesmaeker), mais en plus le film est plutôt fidèle à l'esprit et à l'oeuvre originale de Franquin. Pierre-François Martin-Laval est excellent en Prunelle (et reproduit même sa fameuse interjection) et Théo Fernandez assez crédible en Gaston, dans l'esprit du personnage là encore mais apportant également une touche de modernité.
Bref, on rit dans ce Gaston Lagaffe, c'est même parfois assez hilarant. Challenge suffisamment exigeant pour que la performance soit soulignée.
Cette nouvelle adaptation de bandes dessinées met à l’honneur les travaux du belge André Franquin qui, dès 1957, met à l’honneur Gaston Lagaffe, un homme de bureau particulièrement paresseux. Très créatif lorsqu’il s’agit de faire des pauses sieste, ce héros peu ordinaire apparaît dans Gaston; Spirou et Fantasio, puis prend son envol avec une belle réussite. Cinquante ans plus tard, le fidèle Pierre-François Martin-Laval adapte les dessins au grand écran, quelques années après Les Profs 1 et 2. Le résultat, quoi qu’en pensent les téméraires et audacieux défenseurs d’un cinéma français humoristique paralysé, est assez mauvais. Si Théo Fernandez fait le job, son personnage n’est jamais percutant si même attachant, et les situations le mettant à l’honneur manquent de créativité. Le film est, au final, aussi paresseux que son personnage des villes, et ce ne sont malheureusement pas les seconds rôles (notamment Jérôme Commandeur en Mr de Mesmaeker) qui changeront la donne. Les adaptations de BD ont la vie dure, et il semblerait qu’un revirement de situation soit nécessaire, d’autant plus si les films du genre se font de plus en plus nombreux.
Mon dieu quel navet! Franquin doit se retourner dans sa tombe!
Les personnages sont creux, navrants et jouent comme des pieds!
C'est une accumulations de gags foireux balancés à la va vite, histoire de remplir un film au scénario inexistant!
Heureusement que je ne l'ai pas vu au ciné: 10 balles d'économisés!
Une insulte a la BD
Tout est prévus mais en mauvais
Je suis triste d'avoir perdus mon temps
J'ai crus au moins un bon gags a la fin mais non même pas pfffff
Mouais.. bof bof.
Moi qui adore les comédies françaises, celle-ci est assez nulle..
A part quelques invention de Gaston, il n'y avait presque rien de bon.
Cette idée d'avoir voulu modernisé l'histoire !