Antoine Doinel a finalement épousé Christine Dabon. Le jeune homme est embauché dans une entreprise d'hydraulique après avoir quitté son travail de teinturier pour fleurs. Peu de temps après, Antoine rencontre Kyoko, une Japonaise avec qui il trompe Christine alors que celle-ci vient de mettre au monde leur fils Alphonse.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Apparition
Merci à Ameni qui a créé cette fiche
Il y a tellement à dire ! Le style de Truffaut traitant Antoine Doinel a évolué, plus drôle, plus malicieux.
On ne change pas tant la formule, on ajoute une mise en scène qui fourmille d'idées géniales et de plus d'assurance, il m'a semblé.
Même les dialogues sont plus recherchés, on a une vraie poésie dans les lignes qui ne s'entendait pas jusqu'ici.
Peut-être encore meilleur que Baisers Volés, seul bémol qui l'empêche d'être parfait : la façon très laxiste d'aborder l'adultère.
C'est Antoine, alors le spectateur est déjà attaché, ce n'est pas une nouvelle bévue qui va nous le rendre antipathique ! Sans compter qu'on ne l'a déjà pas épargné dans ce film, égoïste au possible. Puis c'est Christine, douce et aimante, elle reviendra toujours, ça va.
Oui, vraiment dommage que cette saga, dans sa liberté revendiquée, présente l'adultère comme une expérience plaisante et sans conséquences.
Malgré tout je suis faible face au reste, absolument chaque plan est bon.