Chaque samedi, Gisèle court avec un homme qui l’aide à surmonter l’épuisement et la souffrance. Gisèle et Xavier courent parce qu’ils ne peuvent pas s’aimer. Courir comme un moyen de passer outre la barrière de l’âge et des différences, comme une façon de sublimer un désir qui ne dit pas son nom.
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