On retrouve Xavier avec Wendy, Isabelle et Martine quinze ans après l’Auberge Espagnole et dix ans après les Poupées Russes. Tout paraissait si simple alors mais la vie de Xavier ne cessera de prendre des détours inattendus entre Paris et New-York. Il cherche son chemin dans ce joyeux bordel pour trouver sa place en tant qu’homme et aussi en tant que père. Et qui sait, peut-être est-ce justement la folie de New-York qui permettra à Xavier de résoudre, enfin, le véritable casse-tête chinois qu’est sa vie !
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à humphrz qui a créé cette fiche
Très sympa ce nouvel (et dernier ?) opus ! Par contre, ça m'a traumatisée de savoir qu'ils avaient 40 ans, L'auberge espagnole est tellement intemporel qu'on oublie vite que c'est du passé...
Ah ! Et j'ai eu un peu de mal à comprendre la résolution de l'intrigue amoureuse de Xavier : y'a que moi que ça dérange ou pas ?
Un grand plaisir de retrouver l'auberge espagnole au complet.
très bonne suite.
Ben me reste plus qu'à mater les 2 premiers. xD
Un mec (Romain Duris) qui refuse d'"abandonner" ses enfants tout en essayant de faire, à 40 ans, un bilan sur sa vie. Alors que ses copines au contraire, pensent que rien n'a vraiment changé (entre les premiers films et celui là en gros).
À côté de ça il doit s'intégrer au système américain et du coup, avoir recours à des moyens qui existent, mais pas forcément évidents à mettre en place.
J'ai passé un agréable moment. On sourit, on rigole. Les acteurs sont tous géniaux. Perso j'adore Tautou et Duris. Y a même Holt que j'ai découvert dans Hostages US. Eh ben c'est pas une erreur de casting. Elle est très bien dans ce film (contrairement à la série).
C'est bien réalisé et j'aime la façon dont Klapisch filme. Y a des trucs subtils comme le passage où Wendy fixe Xavier en lui répondant "Rien." Avec la caméra toujours sur celui et celle qui parle, puis à l'autre moment où c'est au tour de Xavier de fixer Martine pour lui répondre la même chose. Et là, la caméra est centrée sur celui et celle qui ne parle pas. Donc c'est l'inverse, le contraire. Comme les sentiments qu'éprouvent les 2 personnages qui répondent "Rien." L'une s'aperçoit qu'elle ne ressent plus rien, et l'autre au contraire, s'aperçoit qu'il a peut-être (encore ?) des sentiments pour celle qu'il regarde.
La B.O. est bien choisie également.
Ayant le même age que les personnages à chacun des trois volets, je dois avouer que l'on se retrouve complétement dans tous ces personnages et qu'avec ce dernier cela apporte des questions existentielles. Aussi bon voir meilleur que l'Auberge Espagnole
Ça remonte bien après le deuxième (même au-dessus du premier, dans mon ressenti), et ça conclut en beauté ! De belles tentatives de mises en scène, les personnages ont du mal à se dépatouiller de leur situation difficiles de manière amusante : même si on ne garde que Xavier, Martine et Isabelle en piliers de l'histoire, c'est peut-être grâce à eux que ça rend si bien ?
Bon j approche (trop vite de la 50aine... Klapish a intérêt a nous faire le suivant !! Capishe !! (je sais il est facile celui-là, donc je pouvais ne pas le faire !) !!
Eh bien me voilà surpris d'avoir autant apprécié ce 3é volet de la "Trilogie Klapisch", surtout après Les Poupées Russes que j'ai trouvé particulièrement raté. Ici on retrouve un rythme accrocheur et des situations plus loufoques mais également plus drôles.
Rien à voir mais j'ai cru halluciner en voyant l'apparition de Larry Fessenden dans ce film, alors qu'il est scénariste et acteur du jeu vidéo Until Dawn que j'ai terminé le même jour.
<3
Il est assez rare qu'une suite de films ne perde pas en qualité. C'est le cas ici, Casse-tête chinois venant clôturer la très internationale trilogie de Klapisch avec un égal bonheur que dans les précédents opus, même s'il joue beaucoup sur la corde des familles recomposées.