À Casablanca, pendant la Seconde Guerre mondiale, le night-club le plus couru de la ville est tenu par Rick Blaine, un Américain en exil. Mais l'établissement sert également de refuge à ceux qui voudraient se procurer les papiers nécessaires pour quitter le pays. Lorsque Rick voit débarquer un soir le dissident politique Victor Laszlo et son épouse Ilsa, quelle n'est pas sa surprise de retrouver dans ces circonstances le grand amour de sa vie.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à baba qui a créé cette fiche
Mhhh. Ça fait peut être "bien" de dire qu'on aime Casablanca, pour ma part je le trouve surestimé. Si la réalisation est très soignée, avec de nombreux jeux d'ombres et de lumières, le reste ne m'a pas convaincu. L'histoire n'a rien de bien original et j'ai trouvé les personnages antipathiques. Humphrey Bogart joue-t-il toujours avec cette mono-expression d'huître ou c'est juste pour ce film ? J'exagère un peu mais son jeu m'a assez énervé. Quand à la BO... entendre la Marseillaise toutes les 10 minutes est très lassant, pour rester poli. Ce n'est certainement pas un mauvais film mais je ne comprends pas qu'il soit élevé au rang de chef d'oeuvre. Et puis j'ai rarement vu un métrage où le titre est autant cité dans les dialogues. Si ça c'est pas de l'auto-suffisance !
C'est culte, c'est beau, et c'est la première fois qu'une Marseillaise arrive à m'émouvoir (je parle de la version spontanément chantée au Rick's Café) un peu.
Pour un film de 1944, on a déjà tout ce que le cinéma moderne peut nous apporter aujourd'hui... Bon ok le machisme ordinaire en moins... mais Ingrid Bergman n'a pas besoin d'en faire des tonnes pour impressionner. Elle transpire la classe. Dommage que son rôle soit aussi effacé par rapport à ses homologues.
Je n'en ferais pas mon film référence, mais je comprend qu'il soit aujourd'hui encore considéré comme un pilier du cinéma.
Extraordinaire lucidité et talent de Michael Curtiz, qui signe en pleine guerre un film de propagande, mais subtil, ambigu, aux multiples facettes. Casting remarquable, avec mention spéciale à Claude Rains en insondable Capitaine Renault. A noter aussi la superbe partition de jazz qui ajoute au relief de ce huis-clos cosmopolite.