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14/ 20
Tix a dit (01 Mars 2020 à 21:50)
Épisode correct. Toujours cette faculté à être inventif autour d'un sujet.
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Tix a dit (12 Février 2020 à 23:24)
Bonne entrée en matière. Et le jeu d'acteur est étonnamment bon !
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Tix a dit (11 Février 2020 à 22:28)
Mdr la scène de fin, ils ont regardé Marianne entre temps je pense.
Je sais pas si je vous l'ai dit mais cette série est une catastrophe pour moi.
17/ 20
Tix a dit (26 Janvier 2020 à 00:15)
Enfin un épisode vraiment bon. Début de saison très moyen pour ma part et très confus !
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Tix a dit (20 Janvier 2020 à 03:34)
J'ai beaucoup aimé Borch. Ça fait du bien de voir un personnage qui n'en fait pas des tonnes, qui a l'air naturel. Dommage, il finit en dragon dégueu haha.
Je souligne que la scène d'ouverture n'est pas en présence de Geralt et que ça en fait une bonne scène d'ouverture. Je note qu'ils n'ont pas hésité à introduire le quota de sexe par épisode, avec une scène en camping entre le sorceleur et l'escort-girl aux yeux violets.
Tix a dit (20 Janvier 2020 à 03:19)
Moi aussi je suis preneur de cette interview. S'il demande à ce que tout ce qu'il a écrit d'intelligent et de surprenant dans chaque nouvelle soit supprimé, alors tout s'expliquera xD
Encore une fois, l'épisode est bâclé à mon goût. Cette histoire de vœux n'est pas claire... Bizarrement, la seule chose qu'ils ne bâclent pas, ce sont les scènes de nu. La vraie bonne idée, c'est de ne pas avoir personnifié le djinn. Du coup, ils ont pu faire des effets spéciaux convenables.
Tix a dit (20 Janvier 2020 à 02:57)
Pour preuve de ma bonne foi, je vais lister ce que j'ai trouvé très bon dans cet épisode :
-- D'abord, tous les épisodes devraient commencer ainsi : avec une séquence sans Geralt pour mieux faire apparaître celui-ci. Briser le silence, comme à l'épisode 1, ou comme ici interrompre un début de légende urbaine initié par Jaskier et des villageois.
-- Ensuite, la série se débarrasse intelligemment des trop lourdes péripéties du livres : Geralt n'est pas déguisé, d'ailleurs tout le monde le connait, et c'est Jaskier qui l'invite, il n'est donc pas missionné et ne sait pas ce qui l'attend (bon pour la fluidité, bon pour le suspense).
-- Enfin, la série parvient à prendre son temps, grâce à des dialogues inutiles (autant voir le bon côté des choses) qui permettent d'instaurer un sentiment de longueur dans ce banquet, ce qui va permettre de mieux casser l'ambiance avec la péripétie centrale.
C'est à ce moment que les scénaristes se sont ressaisi et ont décidé de tout gâcher :
-- Ils ont fait un Hérisson sans charisme aucun, totalement pitoyable. Cela enlève tout doute sur sa malveillance puisqu'il est immédiatement sympa(thé)thique.
-- Ils ont décidé de supprimer la joute verbale avec Calanthe et donc le moment de bravoure de Hérisson. Cela enlève également le retournement de situation et les explications. Il y a 15 pages (sur 50) entre l'arrivée de Hérisson et le moment où il ôte son casque. 15 pages ! Un tiers de la nouvelle ! Ici ça prend 50 secondes. A tous ceux qui disent ne rien comprendre, il ne faut pas chercher plus loin : la série vous EMPÊCHE de comprendre.
-- Pire que tout, ils ont détruit la psychologie de Geralt (et ça, même un naïf peut le voir). Geralt et son moindre mal vient ici à la rescousse d'un homme inconnu pour zigouiller la moitié de la garde. Pourquoi ? Est-ce qu'il croit en le droit de surprise ? Est-ce qu'il comprend les enjeux ? Après tout on nous bassine depuis le début avec LE DESTIN. Rappelons qu'en parallèle on a Ciri dans une forêt mystique qui cherche SON DESTIN. Surtout pas. Que demande Geralt après sa bonne action ? "Euh ouais bah comme toi mec, donne moi ce que tu ne t'attend pas à trouver, allez a+." Et de conclure par un très fin : "Destiny can go...".
L'avantage, c'est que cette série très mal écrite ne pourra pas tomber plus bas que cette punchline.
Tix a dit (19 Janvier 2020 à 14:53)
Magnifique diptyque que ces deux premiers épisodes. Tous (ou presque) les thèmes de Paolo Sorrentino sont là. Construit en miroir autour de la préparation du pape à sa première homélie, tant de sujets forts sont déjà abordés. Jude Law est formidable.
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Tix a dit (05 Janvier 2020 à 16:26)
J'ai revu cet épisode après l'adaptation de Little Women par Greta Gerwig. Je n'en connaissais rien avant et Rachel m'avait donc tout spoilé à l'époque, mais c'était amusant de revoir et de comprendre les petites références, même si finalement c'est Monica et Richard qui prenait toute la place de cet épisode.
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Tix a dit (05 Janvier 2020 à 16:21)
J'ai beaucoup aimé ce final, bêtement jouissif, qui tombe bien dans le ton de la série, même si évidemment le saut dans le temps m'avait surpris.
J'ai aimé trouver des personnages qui sortent des stéréotypes mais surtout me bousculent dans mes habitudes, tels que James ou Ricardo. Ça vaut aussi pour Ben Platt, qui a la tête à claque idéale pour Payton mais qui remue pourtant quelque chose à chaque fois qu'il chiale ; je l'ai trouvé parfait dans ce premier rôle. Ryan Murphy prolonge sa lignée de pestes blondes qu'il aime tant, avec Jessica Lange et Gwyneth Paltrow, mais surtout Astrid qui n'a rien à envier aux personnages joués par Emma Roberts.
La mise en scène est habituelle des codes de Ryan Murphy & co mais je l'ai trouvée moins appuyée que d'habitude, insistant juste quand il le fallait, à mon grand plaisir.
Il m'a peut-être manqué plus d'épisodes osés comme le 1x05 qui bousculait la narration mais globalement j'ai pris du plaisir et ça me réconcilie un peu avec Ryan Murphy que je ne regardais plus depuis 3 ans (Feud en 2017).
A voir si Ryan Murphy va être capable de se renouveler dans le futur, à la fois pour une saison 2 et pour les séries Netflix à venir...