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Benben a dit (15 Septembre 2019 à 10:14)
@Nainoche, regarde les commentaires de l'épisode précédent, tu te sentiras moins seul(e) :)
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Benben a dit (12 Septembre 2019 à 09:19)
Mais... Aughra ?? WTF !!???
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Benben a dit (10 Septembre 2019 à 09:21)
Pareil que Ben.G, j'ai été surpris par l'ellipse temporelle entre l'épisode 4 et celui-ci... On ne sait pas exactement comment Gurjin a réussi à échapper aux Skeksis. On a l'impression que sa sœur et l'autre Gelfling dont j'ignore le nom ont poppé directement dans le château... Et en effet, Seladon est un emmerdeuse doublée d'une grosse quiche.
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Benben a dit (10 Septembre 2019 à 09:18)
Ce duel entre le Hunter et Rian accompagné de son père était assez incroyable compte tenu que ce sont des marionnettes (enfin peut-être pas le Hunter qui a l'air d'être habité par un cosplayer hahaha)
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Benben a dit (05 Septembre 2019 à 10:35)
Ho la claque... En tant que fan inconditionnel du Dark Crystal de 1982 qui m'aura fait faire des cauchemars quand j'étais petit puis fait rêver plus grand, j'attendais cette série avec impatience et, je l'avoue, pas mal de crainte. Mais la "Jim Henson Company" a su garder l'essence vitale (héhé) de l'œuvre originelle. C'est d'une beauté à couper le souffle, c'est poétique et surtout, c'est bourré d'effets spéciaux pratiques. Certes la CGI permet d'avoir de nouveaux plans et des animations impossibles en animatronique, mais elle est ici utilisée à bon escient (même si... ben ça se voit quand même !)
Je ne suis pas un fan des prequels, mais force est de constater qu'ici, il y a largement de quoi raconter une histoire, déjà teasée dans le film. J'ai hâte de découvrir la véritable origine des Mystics et des Skeksis. D'ailleurs ces derniers sont ici dépeints avec une certaine ambivalence qui leur sied parfaitement. Le Chambelland apparait déjà comme un bon gros manipulateur.
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Benben a dit (03 Septembre 2019 à 10:46)
Mindhunter confirme son statut de série peaufinée, sauf pour les maquillages qui sont atroces (si c'est volontaire j'attends d'en connaitre la raison). On regrettera aussi les arcs narratifs sur les vies personnelles de Tench et surtout de Carr, mise de côté pour la partie enquête et dont le seul intérêt réside dans son histoire sentimentale. Mouais. Concernant Brian Tench, ça traine vraiment en longueur et ça part dans du drama qui n'a pas forcément sa place ici.
Par contre, tout ce qui touche au travail du FBI est fabuleux. Les interviews, les enquêtes, les implications, les fausses pistes... Tout cela est haletant et diablement bien mis en scène. La "conclusion" de l'affaire d'Atlanta (que je ne connaissais pas) rend le tout encore plus passionnant.
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Benben a dit (03 Septembre 2019 à 10:02)
- Do you know why we pulled you over, Mr. Williams?
- I guess it must be about all those boys.
> froid dans le dos
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Benben a dit (29 Août 2019 à 09:27)
Ha les grosses ficelles pour faire le lien entre Bill/son fils et les serial-killers !
Bon sinon, qui d'autre est perturbé de voir des personnages jaunes dans cette saison ? Le pire étant Wendy qui semble avoir un sérieux problème au foie tellement sa couleur de peau tire vers le pissenlit.
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Benben a dit (28 Août 2019 à 09:50)
Mouais, pas convaincu par l'ajout d'un arc sur les déboires pénaux des protagonistes. Autant nous montrer que leur boulot pourrit leurs relations, c'est classique mais ça fonctionne bien. Autant nous sortir du chapeau la mort accidentelle d'un enfant, déguisée en meurtre et l'implication directe du fils de Bill dans tout ça.... Haem, j'attends de voir !
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Benben a dit (27 Août 2019 à 09:06)
Cette saison 4 s'inscrit parfaitement dans une continuité confortable, 12 ans après la "fin" de la série. On y retrouve Neptune et la plupart de ses personnages clés, soit en caméo discret, soit en rôle secondaire plus ou moins important. L'intrigue est digne de la grande époque : un fil conducteur et une enquête à rebondissements, un coupable qui figure obligatoirement au casting depuis le début mais qu'on ne révèle qu'à la toute fin (et la shortlist des suspects est bouclée dès le 3é épisode).
C'est donc du Veronica Mars pur jus, on en attend pas une écriture plus subtile, et honnêtement, je suis convaincu.