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Tix a dit (14 Janvier 2021 à 14:11)
Le focus sur la famille d'Assane, et sur Claire en particulier, était très intéressant. J'ai aimé que ce personnage s'étoffe un peu. Pour le personnage de Juliette, elle reste un peu trop inutile à mon goût.
Bonne série, pas révolutionnaire, pas dénuée de défauts mais dans le haut du panier de ce qui se fait en France à mon avis.
Tix a dit (14 Janvier 2021 à 12:57)
Très étonnant épisode. Il casse le rythme imposé par les 3 premiers mais il casse aussi un schéma qui commençait à apparaître, à savoir 1 épisode = 1 aventure. Ici l'aventure était un peu plus diluée dans la continuité des autres histoires. Il y a plein de choses qui sont faites différemment ou qui se révèlent (utilisation de la musique, discussions plus posées et profondes). C'est aussi la première défaite franche de Lupin, ce qui est cool et vraiment pas donné à toutes les séries.
Autres remarques sans intérêt :
La scène de Horizon m'a fait rigoler, j'avoue.
Cascadeur - Meaning. Quelle puissance dans cette musique.
Salvator ressemblait plus à Idris Elba qu'à Omar Sy non?
Tix a dit (14 Janvier 2021 à 05:27)
J'ai eu du mal avec l'aspect fantaisiste de la série. Je crois pas une seconde que ça se passe comme ça pour créer un jeu dans les bureaux d'ITV par exemple.
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Tix a dit (13 Janvier 2021 à 08:38)
Plutôt apprécié cette série, assez potache, qui ne propose pas de grands enjeux et esquive gentiment certaines thématiques qui pourraient être fortes. Elle reste très sympathique et divertissante.
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Tix a dit (12 Janvier 2021 à 10:01)
Un bon premier épisode qui est dans le bon esprit de Lupin et c'est cool.
Omar Sy est crédible et donne une touche chaleureuse à ce personnage. J'avais des doutes sur le choix de la transposition à notre époque ET sur le fait que ce n'est pas vraiment Lupin ni un descendant, mais seulement un mec qui s'identifie. Je voyais ça comme une facilité pour faire "accepter" au public que le personnage est noir et éviter les polémiques, mais finalement ça reste très cohérent. D'une part ça permet d'aborder directement les livres de Maurice Leblanc et offrir un message positif envers la lecture et la transmission, et ensuite ça permet d'aller chercher un propos social qui m'interpelle. A voir comment cela évolue.
C'est seulement à la moitié de l'épisode que je me suis dit : Hey mais ça ressemble grave à Now You See Me. Eh oui, c'est Louis Leterrier qui réalise les deux. C'est pas du cinéma que j'affectionne, mais je pense qu'il fait le taf, c'est un mec qui sait faire du divertissement, même si les pseudo-illusions et tour de passe-passe vont en agacer plus d'un (c'était déjà agaçant dans Now You See Me).
J'ai trouvé qu'il y avait quelque chose de très anglais dans l'imagerie et dans les personnages. Typiquement, les racailles ressemblent totalement à des racailles de séries britanniques. Je pense que ça vient de George Kay, qui est anglais, et qui avait d'ailleurs frappé un énorme coup avec Criminal. Et puis je vois qu'il y a François Uzan qui a collaboré, qui est un mec qui a bossé avec François Descraques sur YT, et qui apporte aussi sûrement beaucoup de fraicheur dans l'écriture.
En définitive, on attendait beaucoup La Révolution comme la grande série française de Netflix. Pas pour moi. Lupin prouve avec cette histoire au Louvre qu'elle a au moins autant d'ambition et surtout une identité beauuuucoup plus française et proche de l'esprit des productions françaises.
Tix a dit (08 Janvier 2021 à 15:28)
J'en peux plus de ces poncifs d'éléments nostalgiques tout le temps. Au bout d'un moment, le Minitel, le walkman, les émissions de télé, l'élection de Mitterrand, c'est bon on a compris, c'est trop facile.
Sinon Dominique Besnehard en prêtre c'était marrant.
Tix a dit (08 Janvier 2021 à 13:38)
J'ai trouvé que c'était une série correcte mais un peu trop à cheval entre le soap et le thriller. On pense qu'on va avoir un rythme élevé, et soudain on prend du temps ou on part dans une autre direction. J'ai rien contre une série qui prend son temps, au contraire, mais celle-ci manquait d'une identité propre à ce niveau je trouve. En résumé, pour moi la même histoire aurait été meilleure en 5 épisodes ou en 14, mais pas en 8. Drôle de sensation...
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Tix a dit (08 Janvier 2021 à 09:20)
Très bonne série, portée par une actrice excellente !
L'écriture d'Anna Winger me séduit encore, après son triptyque Deutschland 83/86/89, même si ici le sujet appelle une mise en scène beaucoup plus classique. C'est Maria Schrader qui s'y colle, que je connaissais comme actrice mais pas derrière la caméra. Je comprends mieux comment elle a pu remporter l'Emmy alors qu'il y avait du très lourd en face.
Si vous voulez poursuivre sur l'émancipation d'une jeune fille d'une communauté fermée, je conseille le film Electrick Children, qui est dans une atmosphère différente.
Tix a dit (07 Janvier 2021 à 08:02)
Je suis déçu de ne pas avoir plus de scènes d'Esty à Berlin, j'ai trouvé que cet épisode-ci donnait trop de place aux flash-backs et au mari. Les flash-backs me mettent assez inconfortable, sur cette communauté que je ne connais pas bien. Par contre les scènes du mari sont vraiment pas intéressantes. Je trouve qu'il y avait un certain potentiel et l'acteur est bon, mais dans cet épisode il est juste pathétique, et ça commence à être redondant. A la limite, ça a le mérite de montrer qu'il est aussi naïf qu'Esty, aussi paumé lui-même, et donc ça ne met pas en valeur une communauté patriarcale, mais plutôt une relation aînés-jeunes. Ce qui n'est pas moins problématique, mais qui sert mieux le propos qu'une bête opposition hommes-femmes.
La scène du piano est très dure. On se doutait assez bien qu'elle n'était pas assez douée. J'ai trouvé ça très touchant, la phrase clé étant : "Tu aurais pu être pianiste, mais dans d'autres circonstances.". On sait qu'elle a manqué beaucoup de choses, qu'elle a été privé de certains plaisirs, mais découvrir cela est visiblement ce qu'il y a de plus dur à ce stade. Et c'était très frappant (beaucoup plus que d'autres scènes un peu nulles, genre celle du jambon).
Tix a dit (07 Janvier 2021 à 04:24)
J'ai pas réussi à savoir si j'ai aimé. C'était limite nanardesque, avec un discours et une mise en scène boursouflés. Et en même temps, c'est exactement ce à quoi on s'attend de la part de Gatiss et Moffat. Après c'est peut-être la représentation du gothique qui fonctionne mal sur moi, je trouve ça à peine meilleur qu'un truc comme Penny Dreadful, que je trouve sacrément nul. Donc mitigé.
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