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Benben a dit (16 Mai 2022 à 08:45)
Tiens, ils jouent à "The Surge" dans cet épisode. Un (excellent) jeu Allemand. Dommage que les manettes de leur PS4 soient éteintes et que "The Surge" soit un jeu solo hahaha. Il y avait eu la même erreur dans "Lupin".
Voir tous les commentaires de l'épisode16/ 20
Benben a dit (24 Avril 2022 à 13:59)
C'est ce que j'appelle un cliffhanger de gros bâtard !
Excellente découverte, aussi étrange qu'accrocheuse.
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Benben a dit (23 Avril 2022 à 18:54)
Mais qu'est-ce que j'ai pu me marrer avec cette série :) Plein de bonnes idées, des mésaventures hilarantes, le tout savament ancré dans une époque pas forcément joyeuse en Irlande.
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Benben a dit (16 Avril 2022 à 10:50)
Terminer une saison, et même une série toute entière. Mettre un terme à une histoire folle, poser la dernière pierre d'une merveille du monde de l'audiovisuel. On peut faire sagement ce qu'on attend de nous, ou bien prendre tout le monde à rebours.
C'est la voie du chaos qu'ont choisi des créateurs de Peaky Blinders.
Pas de grande confrontation épique, pas de conclusion dans le sang, plutôt une sorte de passerelle vers autre chose. Pas de clap de fin pour tous les arcs scénaristiques, mais une continuité laissée à interprétation. C'est déroutant, presque décevant, mais... même si javais moi aussi envie d'un épilogue à la Breaking Bad, n'est-ce pas là tout aussi bon d'être surpris par tout autre chose ?
On sait bien que Steven Knight et ses scénaristes ont la capacité de faire aussi bien que Vince Gilligan, alors pourquoi nous pondre une saison, et surtout un épisode final aussi... étrange ? Pourquoi autant de deus-ex machina ? C'en est caricatural.
Mais peut-être que le film prévu pour 2024 apportera des explications ?
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Benben a dit (27 Mars 2022 à 11:37)
Excellente mini-série d'espionnage, qui fera forcément penser à "The Americans" (en même temps avec Noah Emmerich au casting...).
Le métier d'espion y est retranscrit non pas sur le ton du héros sans peur, mais sur l'aspect psychologique que cela implique, les répercussions sur la famille et les relations, l'emprise d'une double identité, le tout sous une pression incroyable puisque c'est sa propre vie que l'on risque.
On a pas trop de parti pris idéologique ou patriotique, même si on a l'impression que seule la Syrie bute des civils. Si on identifie effctivement très clairement qui sont les "gentils" et les "méchants", disons que c'est fait de manière assez subtile la plupart du temps.
La réalisation essaie de nous aiguiller grâce à une colorimétrie qui change selon les lieux. Alors je n'ai pas trop compris pourquoi les couleurs étaient désaturées en Israël, saturées en Syrie, et bleutées en Suisse. Est-ce que c'est juste un marqueur visuel ou est-ce que cela comporte une vraie signification artistique, culturelle ?
Sacha Baron Cohen excelle dans un rôle dramatique, cela vient encore une fois prouver que les acteurs de comédie sont probablement les meilleurs de leur catégorie car ils savent tout jouer. Il me semble que c'est Alexandre Astier qui disait cela.
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Benben a dit (12 Mars 2022 à 10:32)
Une série française qui lorgne du côté de la science-fiction et du fantastique, avec un peu d'humour, mais qui jamais ne prend les spectateurs pour des idiots. Autant dire que la probabilité de tomber sur une telle production est proche de l'horizon des évènements, c'est-à-dire dans un putain de trou cosmique.
Mais OVNI(s) est l'exception, celle qui parvient à s'extirper de la force gravitationnelle engendrée par le paysage audiovisuel français et qui produit 99% de daubes intersidérantes.
Il y a des défauts, comme l'usage à outrance des séquences où les protagonistes avancent dans leurs réflexions grâce à des évènements extérieurs. Ou quelques anachronismes. Mais cela ne gêne jamais la narration qui nous emmène de surprises en surprises.
La bande originale signée Thylacine est un vrai bijou, les personnages ont tous quelque chose d'utile à apporter à l'histoire, la réalisation est soignée, et chaque épisode se termine sur un cliffhanger un peu putassier mais toujours justifié.
Et puis, OVNI(s) permet de parler un peu du CNES qui mérite d'être connu. Ça fait du bien de mettre en avant des scientifiques.
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Benben a dit (11 Mars 2022 à 08:48)
T'en fais pas @simviart tu n'es pas seul(e)
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Benben a dit (01 Mars 2022 à 09:48)
Très belle petite pique en fin d'épisode, avec Remi qui espère que les complotistes et autres illuminés feront bon usage du Minitel (et d'Internet) :)
Cette série est franchement sympa ! Même si le modèle du personnage plus intelligents que les autres est déjà vu et revu dans nos bonnes séries Françaises (Kaamelott, Au Service de la France), la recette fonctionne encore.
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Benben a dit (18 Février 2022 à 11:23)
Il y a beaucoup à dire sur cette série qui finalement n'a pas grand-chose à raconter.
Au-delà de l'aspect "Mandalorian du pauvre" on pourra déjà s'interroger sur l'intérêt global de "The Book of Boba Fett" qui s'échine à détruire un personnage culte de la mythologie Star Wars mais qui n'apporte rien à la saga dans sa globalité.
La saison démarrait plutôt bien avec cette plongée dans le monde des Tuskens, peuple assez méconnu, qui n'avait fait l'objet que de quelques comics assez intéressants. Sauf qu'ici c'est mal raconté, désolé. Les trois premiers épisodes, dont deux sont signés Robert Rodriguez, sont affreusement mauvais tant dans leur rythme que dans ce qu'ils proposent scénaristiquement.
J'en parlais sur mon commentaire du dernier Cruella : Disney semble vouloir passer une couche de peinture sur les personnages méchants afin de les rendre plus sympathiques, et ici c'est Boba Fett qui en fait les frais. Sur le principe de la transformation du personnage suite à un choc, allez, pourquoi pas... mais le traitement est tellement mauvais et illogique ! Boba devient un mec sympa mais c'est quand même un baron du crime, qui au final sera aimé et apprécié par ses "sujets" : quand il déambule dans les rues de Mos Espa à la fin du dernier épisode et que les gens le saluent et lui font des offrandes, on atteint le niveau ultime de la désacralisation et de la débilité profonde. Et je ne parle même pas du fait que son vaisseau "Slave 1" ait été rebaptisé pour "ne pas faire l'apologie de la discrimination et du racisme". On nous sert Dave Filoni et Jon Favreau en messies de Star Wars mais ils font la même merde que leurs congénères sur la postlogie. Franchement, qui s'est dit que ce serait une bonne idée de faire faire une pirouette 360° à l'horizontale au type augmenté, dans le dernier épisode de la saison, avant de tirer sur les mecs qui le canardent ? C'est juste pitoyable.
De manière générale, il n'y a tellement rien à raconter qu'on a 2 épisodes pendant lesquels Boba Fett est même totalement oublié pour remettre Mando au premier plan et attaquer la saison 3 sans rogner sur le temps qui lui sera alloué. Cela permet d'ouvrir grand les vannes du fan-service mais illustre surtout le fait que les scènes avec Luke n'auront vraiment servi qu'à ça. Le fait que Grogu revienne démontre que sans lui, "The Mandalorian" est trop creux pour survivre, ce que l'on savait déjà en fait. De toute façon, il fallait se douter que le dôme dans le Naboo Starfighter de Mando n'était pas là que pour la déco. Faire quitter l'Académie Jedi de Luke est une décision scénaristiquement idiote. Donc Luke n'est apparu que pour nous faire plaisir quelques minutes. Et au rayon fan-service on sera servis jusqu'à plus soif. Le circuit de la Boonta Eve, le Starfighter N-1, le sabre de Yoda, et même une référence à Anakin ! On notera aussi, outre Cade Bane de "The Clone Wars", ou encore le wookie Krrsantan (d'ailleurs pourquoi les insurgés l'attaquent à l'arme blanche et pas au blaster sérieux ? ils sont débiles ou quoi ? Ah oui, c'est vrai, le scénar a été écrit dans les chiottes) issu de divers comics récents, l'énorme référence à "L'Empire des Ténèbres" avec le duel entre le Rancor et les droïdes. Pour rappel dans "L'Empire des Ténèbres" ("Dark Empire" en VO), Boba Fett est un gros salaud.
Je regrette aussi l'américanisation forcée et absurde de Tatooine. Si le gang des vespas colorées peut passer pour un hommage à American Graffiti, celui des motards débiles avec leur blouson floqué n'a aucune excuse. Pourquoi remplacer l'identité de cette planète par des gimmicks qui rappellent les États-Unis ?
On a quand même droit à un truc original pour Star Wars (mais pompé sur Halo et sur Elysium), avec la cité spatiale en forme d'anneau. Côté ambiance ça se pose là.
Bref, vous l'avez compris, pour moi "The Book of Boba Fett" c'est de la poudre aux yeux, mais du genre qui pique. Un personnage emblématique de la saga est vidé de sa substance (après avoir massacré Luke dans les épisodes 7-8 ça fait beaucoup) pour des raisons incongrues. Le scénario est vide et sans intérêt et le pire c'est que la scène post-générique nous tease une saison 2 avec le retour du Marshal en mode cyborg.
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Benben a dit (17 Février 2022 à 13:38)
Et dire que j'avais oublié que Disney avait changé le nom du vaisseau de Boba Fett... -___-
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