ATTENTION, vous voyez TOUS les commentaires de l'utilisateur Benben
8/ 20
Benben a dit (29 Juin 2022 à 08:45)
Episode aussi subtil que le gros bouton ROUGE qui sert à ouvrir le passage secret dans la cache rebelle...
Mais comment est-il possible de valider un scénario aussi con ?
- L'inquisitrice Reva qui se téléporte comme par magie au bout du tunnel
- La rebelle Tala qui se téléporte comme par magie dans la carrière où Obi-Wan et Vader s'affrontent
- Vader qui tout à coup ne peut plus utiliser la Force
Et puis le pompon avec les "retrouvailles" entre Vader et Obi. Mais allez vous faire cuire le cul. D'où ça sort ? Qui peut valider une telle incohérence ?
C'est écrit par et pour des idiots. Manque total de respect à Star Wars, mais ça, on est habitués depuis la Postlogie, manque total de respect pour les spectateurs mais ça c'est l'industrie complète qui souffre du même mal...
Cette série était quand même porteuse d'espoir, on pourrait facilement se sentir comme Obi face à un Anakin coupé en morceaux : "You were the chosen one, It was said that you would [...] Bring balance to the Force, not leave it in darkness!"
C'est tellement déprimant de voir des gens défendre bec et ongles une telle médiocrité. Après, chacun ses goûts, y'en a bien qui aiment se faire insulter tout en se faisant chier dessus.
8/ 20
Benben a dit (27 Juin 2022 à 09:40)
Rolala, ça va de mal en pis.
On sait très bien qu'Obi et Leia vont s'en tirer, ça sert à quoi de pondre de mauvaises séquences de course-poursuite avec du mauvais suspense ?
Et puis les ellipses entre différents plans, mais... ?
Et le Grand Inquisitor qui se fait dessouder façon Snoke ? Recycler du caca, ça fait du caca.
Donc Obi-Wan connait tout des Inquisitors, mais n'est pas au courant que Vader est vivant ? Y'a pas comme une incohérence ?
Objectivement, ces deux premiers épisodes sont mauvais. Il n'y a rien à défendre dans cette production que je trouve pour le moment totalement loupée.
10/ 20
Benben a dit (27 Juin 2022 à 09:26)
Mais.... qui a pondu une scène d'intro pareille ? On dirait un tribute piqué sur Youtube !
Et on en parle des gugusses qui poursuivent Leia dans la forêt ? Non mais regardez moi ça, c'est d'un pathétique, y'en a même un qui est bloqué parce qu'il ne sait pas se baisser pour passer sous une branche.
Les méchants en cosplay qui débarquent en mode pas content mais qui se touchent la nouille et laissent le Jedi leur filer entre les doigts ?
Aucun rythme, aucune ambition artistique (que ce soit visuel ou sonore). 90% des habitants de Tatooine sont des humains, où sont les aliens ?
C'est mal écrit, purée mais qui peut valider des choses aussi médiocres sur une série aussi attendue ? Déjà que c'était pas foufou dans The Mandalorian et carrément nul dans The Book of Boba Fett...
Franchement ça s'annonce assez mauvais.
Benben a dit (24 Juin 2022 à 08:54)
Quelle saison ! En manque cruel de SF, j'ai adoré retrouver cette ambiance, ce générique incroyable, j'ai dégusté de bout en bout cette "conclusion" qui arrive à rester cohérente malgré le peu d'épisodes dont elle dispose.
Trop rapide ? Oui hélas, mais difficile d'en vouloir aux créateurs de la série qui n'ont probablement pas choisi de couper court à leur adaptation. On a tout de même droit à quelques superbes moments de bravoure, que ce soit dans l'espace ou dans les "ors" des arcanes politiques.
Quelques ouvertures laissent planer l'espoir de revoir d'ici quelques années poindre une suite, ce qui va me laisser le temps de commencer à lire les romans qui me font de l'œil depuis trop longtemps.
Rocinante, over and out.
17/ 20
Benben a dit (20 Juin 2022 à 08:40)
Et dire que j'imaginais Cloud9 comme une série bas du front, ode au consumérisme à l'humour destiné aux déficients mentaux volontaires. Comme je me trompais.
En six saisons, cette série a su être aussi subtile qu'intelligente, et s'est mise au niveau des travailleurs qui galèrent dans des boulots infâmes, pour des patrons monstrueux et des clients pire que des rats.
Pour un série américaine, j'ai été étonné par la portée sociale des différents messages. Toujours dépeints d'une façon mesurée et mature, jamais dans l'extrême. Ici on va parler de pauvreté, d'exclusion, d'immigration, et même de syndicalisme, bordel excusez du peu, avec une réflexion humaine et pas complètement pétée et issue d'un tract politique.
La gestion de la pandémie de Covid-19 est tellement bien décrite, et surtout assumée : c'est quand même rare de voir des acteurs jouer leurs scènes avec un masque, sauf dans "Cloud9".
La fin est complètement mielleuse, mais diablement parfaite. Elle fait un bien fou.
Et la révélation autour de l'affaire des pieds coupés : c'est la cerise sur le gâteau :)
14/ 20
Benben a dit (13 Juin 2022 à 08:57)
@Zorro, hein ? Mais ça n'a rien à voir !
Voir tous les commentaires de l'épisode
13/ 20
Benben a dit (08 Juin 2022 à 09:02)
Meh.
Ouais c'est cool d'avoir le prequel de la saison 1, et les évènements sont "logiques" et se recoupent assez bien.
Mais finalement on a pile poil ce qu'on s'attendait à voir. Rien de surprenant, juste ce qu'on veut goûter, et c'est bien dommage.
De plus, toute la saison et principalement cet épisode, traîne en longueur pour pas grand chose, ce qui accentue cet effet de "tout ça pour... ça ?"
C'est sympa hein, mais bon, quatrième saison, on pourrait quand même s'attendre à un peu mieux.
Sans forcément deviner tout de suite que l'infirmier est le fils de Ballard, ou Vecna lui-même, il était plus qu'évident qu'il avait une importance certaine dans le scénario. Pour moi il était clair depuis le début que c'était lui le mystérieux 001.
Et plein d'encouragements pour la team Jonathan/Will/Michael/Argyle, grands absents de cette heure et demie. Quand on ne sert à rien, on ne sert à rien.
Et dire qu'une saison 5 est déjà prévue ? Faudrait vraiment que les attentes du public soient un peu plus poussées.
14/ 20
Benben a dit (07 Juin 2022 à 08:45)
Petite référence à Aliens sur l'ordinateur, où l'on aperçoit "Weyland Yutani" mal orthographié sur une URL.
À ce propos, on a un petit anachronisme puisque cette saison se passe en 1986 mais que les protocoles HTTP et HTTPS que l'on distingue sur cet easter-egg, ont été créés respectivement en 1989 et 1994.
Mais sinon IRL je suis rigolo hein !
15/ 20
Benben a dit (03 Juin 2022 à 09:39)
Enfin, la saison démarre. Cet épisode est bien moins malaisant que les précédents, grâce à la quasi-absence de drama mal écrit.
On ressent pleinement l'influence des films de monstre des années 80/90 : que ce soit avec la présence de Robert "Freddy Krueger" Englund, la pierre tombale "Myers" en référence à Michael Myers, ou encore la séquence reprise de "Silence of the Lambs" quand Nancy et Robin arrivent dans la zone de haute sécurité de l'hôpital psychiatrique, le ton est donné pour de bon.
Superbe séquence de gunfight dans la maison des Byers, surprenante et maitrisée à la perfection (en plan séquence si je ne m'abuse).
L'évasion de Hopper, pieds nus dans la neige, et dont la blessure disparait miraculeusement, est un peu tirée par les cheveux, mais pleine de tension.
La séquence finale avec Max dans l'Underworld sauvée par le pouvoir de l'amitié et de la musique... bon, allez je l'admets, c'était aussi niais qu'épique. Et surtout visuellement impeccable.
10/ 20
Benben a dit (01 Juin 2022 à 08:42)
L'arc en Californie avec El, Michael et Will est grotesque à tous points de vue. Rien ne va, tout est caricatural.
La scène de golf avec Argyle et Jonathan est inutile.
Heureusement, l'enquête de Joyce et Murray apporte un peu d'intérêt et permet d'enchaîner sur ce qu'il advient de Hopper.
Ce qu'il se passe à Hawkins renoue avec le cœur même de Stranger Things. Je suis fan du design du méchant de cette saison, même s'il est trop humanoïde à mon sens.
Les basketteurs en mode vendetta aveugle, je sens que ça va être chiant pour rien... je peux me tromper mais j'ai l'impression que ça ne va rien apporter à l'histoire, hormis le fait que Lucas va très probablement prouver son amitié envers ses vrais potes. Une fois de plus, car je rappelle que dans les saisons précédentes c'était toujours lui qui remettait en question ce qu'il se passait avant d'enfin se ranger aux côtés de ses amis.