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Auraman a dit (12 Janvier 2017 à 01:37)
EH BEN QUAND MEME !
J'veux dire, après une saison 1 aussi décevante, c'est presque miraculeux de trouver un premier épisode de cette trempe. L'ambiance est prenante, grâce aux jeux de lumière et au charisme des différents personnages principalement, mais le scénario suit et nous propose enfin quelque chose qui attise la curiosité et donne envie d'en savoir plus. Pourvu que ça dure !
Auraman a dit (11 Janvier 2017 à 18:28)
Je viens de finir la saison 1, et ne tournons pas autour du pot : c'était minable. Derrière ses allures d'histoires de détectives ne se cache qu'un quelconque shonen rempli de combats, dans lequel les personnages n'apparaissent et ne sont développés que lorsqu'ils peuvent être utiles au scénario d'un épisode.
Impossible d'éprouver la moindre empathie pour eux, quoi qu'il arrive, puisque même transpercés 50 fois de suite, ils ne se sortent des affrontements qu'avec quelques égratinures.
Bref, une réelle déception, je m'attendais à trouver des enquêtes alambiquées, dans lesquelles le spectateur pourrait se faire ses propres hypothèses ; mais malheureusement, le personnage de Ranpo et sa "super-hypothèse" font le travail pour nous, comme par magie.
Bungo Stray Dogs n'a, pour l'instant, rien d'une série de détectives, et n'a même pas la prétention d'être un shonen bien construit. Je vais tout de même tenter la saison 2, qui, paraît-il, corrige toutes ces erreurs...
Auraman a dit (11 Janvier 2017 à 00:26)
Malheureusement, Kabaneri a été un pétard mouillé. Cela dit, la réal vaut le coup d'oeil alors j'espère ne pas te décourager du visionnage :/
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Auraman a dit (09 Janvier 2017 à 01:38)
J'ai également trouvé l'épisode très bon, j'ai rien vu venir et je me suis laissé prendre à chaque twist/révélation, et c'était vraiment agréable. Le bémol de l'épisode et de la saison c'est effectivement le personnage de Danny dont le traitement est assez catastrophique, impossible d'avoir la moindre empathie pour lui ou Clara sur ce coup :/
Mais pour le reste c'est du tout bon
Auraman a dit (03 Janvier 2017 à 15:48)
J'ai trouvé cet épisode très bon et pour une fois, le fait de pas expliquer ce qu'est la chose ou même de laisser son existence dans le flou je trouve ça brillant.
Je vais pas dire que les gens qui pestent contre ça sont passés à côté de l'épisode mais quand même x). Ca paraît assez obvious l'effet recherché, là. Tous les événéments qui ont eu lieu peuvent s'expliquer par des choses rationnelles.
Le docteur qui a écrit machinalement Listen et qui a oublié, le truc sur le lit qui pourrait effectivement être un camarade, le sas qui s'ouvre à cause de la pression ou du Docteur bêtement...
Moffat a essayé, à l'instar des Anges Pleureurs, de nous effrayer avec quelque chose que la plupart des gens connaissent ; quand vous êtes persuadé que vous aviez posé votre crayon sur la table mais qu'en fait vous le retrouvez ailleurs par exemple.
Ce qui est intéressant avec tout ça, c'est que ça instaure le doute ; sans même l'idée du voyage dans le temps, on pourrait se dire qu'il y a bien une créature qui nous suit et nous joue des tours :p
Quant à tout ce qui concerne le voyage dans le temps, bah... on aura sûrement des éclaircissements sur Pink (bien qu'on puisse déjà présager quelques trucs). L'épisode est pas exempt de défaut, mais là faut pas déconner, y'a quand même beaucoup de choses intéressantes et cohérentes et rager contre Moffat pour cet épisode précis, ça me semble plus capricieux qu'autre chose.
Auraman a dit (01 Janvier 2017 à 04:19)
Ben moi j'ai beaucoup aimé, et j'ai été vraiment ému par le départ d'Eleven. J'avoue avoir un peu de mal à comprendre pourquoi tout le monde s'acharne sur l'épisode vu que moi il m'a apporté quasiment toutes les réponses que je cherchais depuis le début de la saison 7/fin de la 6 ; la scène de régénération je l'ai trouvée vraiment poignante, autant que celle de Tennant qui était pourtant bien marquante...
Bref, j'ai beaucoup, beaucoup aimé, et sincèrement, je trouve que l'ère Davies contenait tout autant voire plus d'incohérences dans le scénario, alors j'irais pas blâmer Moffat pour ça. Non, je trouve juste que Moffat c'est brouillon, pas assez clair.
Auraman a dit (28 Novembre 2016 à 22:02)
Mais qui arrêtera Ford :x ?
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Auraman a dit (24 Septembre 2016 à 17:36)
Bon pour ma part, j'ai beau adorer les années 80, les films de l'époque à la Spielberg et la musique clinquante des synthés, cette série m'a complètement consterné.
La réalisation me semble être le seul point vraiment positif de l'oeuvre ; ça c'est sûr, c'est beau, c'est bien cadré. Pour le reste... Je ne saurais dire si c'est le jeu d'acteurs ou les dialogues (probablement la deuxième option), mais j'ai jamais ressenti les émotions qu'on voulait me faire passer. Pire, j'ai même trouvé certaines scènes assez ridicules, notamment les passages où Eleven se veut inquiétante ou menaçante qui m'ont juste fait sourire bêtement.
Les types du gouvernement, c'est la même chose, comment tu veux prendre au sérieux des antagonistes qui ont trois lignes de répliques, et qui se font tuer et ridiculiser à la pelle --"
Pour le scénario et son déroulement, c'est un burrito bien lourd de gimmicks et de clichés qu'on a vus mille fois ailleurs (et souvent mieux exploités) ; la trame de fond est encore incomplète, y'a beaucoup de mystères en cette fin de saison, donc je me prononcerai pas là-dessus.
Pour l'ambiance, j'en ai pas vu de particulière. En fait, j'ai souvent oublié qu'on était dans les années 80 en regardant la série, mais heureusement, on a cette bande-son super grossière et caricaturale pour nous rappeler que c'est pas notre époque. Même les films à la Spielberg des années 80 étaient moins remplis de synthétiseurs.
Bref, je comprends pas un tel engouement, visiblement ça fonctionne vu le nombre de commentaires positifs ici et c'est tant mieux pour l'équipe qui l'a réalisée, on sent que y'a quand même de la bonne volonté derrière, mais pour moi, c'est pas un bel hommage à tous les films du genre. Ca n'a aucune saveur ou identité propre, et c'est bien dommage.
Auraman a dit (27 Juillet 2016 à 14:30)
Personnellement, je vois la série comme une réécriture, une réinterprétation de Fight Club, et pas comme un "honteux pompage".
On a vu à quel point la réalisation est en cohérence avec les intentions scénaristiques, notamment avec le cadrage (ou dans cet épisode le titre de la série qui est incrusté sur la boutique éponyme). Si on garde ça en tête, la reprise de Where is my Mind au piano est aussi un coup de génie, en quelque sorte. Ça colle à l'idée de réinterprétation de Fight Club, et vous savez quoi ? C'est tout sauf une mauvaise chose.
Dire que c'est une pâle copie, c'est bidon, dans ce cas, au pif, les Batman de Nolan sont juste des copies des Batman précédents parce que Bruce Wayne est Batman, le Joker est méchant, etc.
L'intérêt de Mr. Robot c'est son traitement, sa réalisation, ses personnages... En musique, il est appréciable de voir des musiciens jouer des morceaux qui ne sont pas d'eux, car ils apportent leur propre identité, leur propre version de la musique à ces morceaux. Eh bien Mr. Robot, c'est un peu ça. Un cover de Fight Club, joué par de très grands musiciens.
Auraman a dit (06 Juin 2016 à 17:17)
Non, Aria va s'en sortir, ça n'aurait pas d'intérêt scénaristique de la tuer.
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