Vous incarnez un jeune garçon qui, dans des ruines anciennes, découvre un animal fabuleux. Le titre se concentre sur les relations entre la créature et le garçon, qui évolueront en fonction des actions et attentions de ce dernier pour se transformer en véritable amitié.
(Source : Jeuxvidéo.com)
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Remporter tous les trophées.
Terminer le jeu jusqu'au bout.
Atteindre la fin du jeu en moins de 5 heures.
Atteindre la fin du jeu en moins de 15 heures.
Atteindre la fin du jeu en moins de 30 heures.
Atteindre la fin du jeu sans jamais perdre.
Donner tous les tonneaux à Trico.
Avoir entendu tous les indices.
Récupérer et équiper toutes les tenues du garçon.
Toucher les armures avec au moins 20 pots ou tonneaux.
Vaincre au moins 10 armures en retirant leur casque.
Rester sur le dos d'une armure pendant au moins 30 secondes.
Vaincre au moins 20 armures avec l'éclair de Trico.
Faire que Trico batte au moins 20 armures pendant qu'elles transportent le garçon.
Peindre tout le corps de Trico.
Faire que Trico attrape un tonneau en plein vol au moins 20 fois.
Prendre Trico... en plein acte.
Parcourir au moins 10 mètres en portant au moins 2 tonneaux empilés.
Éviter Trico pendant au moins 3 minutes lorsqu'il est pris de folie dans une salle d'antenne.
Arriver sur le dos de Trico après avoir été éjecté hors d'un chariot.
Toucher toutes les bêtes ennemies.
Retirer tous les pieux du corps de Trico le plus vite possible.
Faire que Trico passe la tête dans chaque trou.
Éviter une chute en se rattrapant à la queue de Trico au moins 10 fois.
Liste de jeux aléatoires dans le genre Action/Aventure sur Playstation 4
Merci à TheRavenQueen qui a créé cette fiche
The Last Guardian porte le lourd fardeau de succéder aux titres cultes que sont Ico et Shadow of The Colossus. Depuis, les développeurs se sont simplement contentés de « remasteriser » leurs deux chefs d’œuvres, et The Last Guardian, initialement prévu sur Playstation 3, aura subi un développement chaotique. Si je porte une affection certaine mais mesurée à Ico, Shadow of The Colossus reste à ce jour l’une de mes meilleures expériences en matière de jeu vidéo. Difficile donc de relativiser mes attentes envers ce tant désiré The Last Guardian ! Et après une petite quinzaine d’heures passée en compagnie de Trico, il est temps de rendre un verdict. Positif, mais...
Version Playstation 4 15 h de jeu…mais commençons avec les bons points ! Si techniquement le titre accuse quelques lacunes, l’ensemble impressionne quand même via une animation fantastique (Trico a fait l’objet d’un soin tout particulier et l’animal se révèle criant de vérité), des jeux de lumières divins, et une direction artistique magistrale ! Rarement communs, souvent impressionnants et parfois somptueux, les environnements de The Last Guardian ont bénéficié d’un s’avoir faire édifiant et renvoient une esthétique unique. Si les passages en intérieur ne se distinguent pas particulièrement, les extérieurs très lumineux, limite surexposés, dégagent une ambiance mystique non sans rappeler l’univers d’Ico, couplé à la démesure de Shadow of The Colossus. Histoire de faire un amalgame facile mais justifié. Le level-design, lui, n’apportera pas autant de génie mais restera d’excellente qualité.
On saluera également la bande son, discrète et agréable, qui amplifie à merveille l’ambiance exceptionnelle du titre. Car, également secondée par la direction artistique susmentionnée, l’atmosphère de The Last Guardian émerveille et transporte le joueur dans un monde onirique et mystérieux, où siègent les vestiges imposants d’une civilisation disparue. Votre périple sera teinté d’une douce mélancolie, et seul Trico viendra apaiser ce pesant sentiment de solitude. A ce propos, la relation des deux protagonistes se révèle bien évidement au cœur de l’aventure. Petit à petit l’entraide mutuelle et les interactions entre Trico et le jeune garçon prennent de l’ampleur, jusqu’à engendrer une poignante complicité qui atteint son paroxysme à la toute fin du jeu. Cœurs d’artichauts s’abstenir. Une thématique forte qui véhicule son lot d’émotions, ambition première de Fumito Ueda, mais…
… mais malheureusement des approximations de gameplay viennent dangereusement ternir l’expérience ! Car si la modélisation, la gestuelle et l’attitude de Trico s’avèrent irréprochables, l’IA ne suit pas. Notre compagnon de fortune a parfois bien du mal à obéir à nos directives, et il faudra régulièrement insister pour qu’il s’exécute ! Alors oui, au début on se console en supposant qu’une bête sauvage peut conserver son libre arbitre. Mais passé quelques heures, difficile de ne pas pester devant l’écran... Ce n’est pas non plus imbuvable et l’ensemble se laisse diriger, mais s’énerver contre la bêtise de Trico alors qu’on vient de vivre un passage émouvant casse clairement l’immersion et la complicité recherchée. Le concept était-il trop ambitieux ? Sans doute. Quoi qu’il en soit, associé à une maniabilité générale perfectible (les mouvements du garçon sont loin d’être précis et le système d’accroche sur Trico s’avère moins ergonomique que dans SOTC, un comble !), le gameplay nuit clairement au titre.
Dommage, car cette fausse note l’empêche à mes yeux d’atteindre les sommets côtoyés par Wanda et sa quête colossale. S’en suit malgré tout une expérience de jeu rare, à l’esthétique séduisante et à l’ambiance envoûtante. L'histoire reste discrète mais habilement contée, ne révélant ses mystères qu’au compte-goutte tout en conservant une zone d’ombre propice à l’appréciation de chacun. Ainsi, l’accent mis sur la relation entre les deux protagonistes offre de grands moments de jeu vidéo, et contribue à faire de The Last Guardian une œuvre unique et marquante. Un poil décevant, oui, mais néanmoins excellent.
Si Trico est un véritable chef d’œuvre d'animation et comportement ultra réaliste, le gameplay et les mécaniques sont d'un autre âge, le jeu en devient particulièrement frustrant à certains moments et ne pas avoir un contrôle précis de son personnage est vraiment rédhibitoire pour un jeu de ce type.
Version Playstation 4 12 h de jeuDommage car l'univers et la musique avec notre ami à plume sont eux une pure réussite, on était pas loin du chef d’œuvre.