5 h
6.5 h
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Stray est un jeu d'aventures qui nous laisse incarner un chat errant en vue à la troisième personne. Dans une ville au style cyberpunk, vous devez résoudre des mystères pour vous en échapper et retrouver votre famille.
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Glisser la tête dans le sac en papier.
Miauler 100 fois.
Sauter 500 fois.
Essayer de jouer au mahjong avec les robots.
Mourir 9 fois.
Se frotter à 5 robots.
Apporter toutes les partitions à Morusque.
Faire un dunk dans le panier.
Zapper sur toutes les chaînes TV.
Collecter tous les badges.
Dormir plus d'une heure.
Gratter dans chaque chapitre.
Terminer le jeu en moins de 2 heures.
Merci à Max Hell qui a créé cette fiche
"tout le monde veut devenir un chat ...
Version PCMagnifique ! L'histoire, l'ambiance, la bande son, le gameplay, le réalisme du chat et de ses mouvements,... Tout est magnifique dans ce jeu et on s'attache énormément aux personnages (le chat et son petit robot). On ne s'ennuie jamais, pas de redondance. Assez dur de s'arrêter, comme un bon livre, on passe les chapitres sans s'en rendre compte. Même si toutes les bonnes choses ont une fin, et que sa longueur relativement courte est sûrement un aspect positif, on est quand même triste d'arriver à la fin.
Version Playstation 4 13 h de jeuCoup de cœur !
Et bien, oui, tout était chouette et doux. J'ai même versé une petite larme à la fin, alors même qu'elle s'avère finalement plutôt attendue.
Version Playstation 4 7 h de jeuJe recommande vivement, pour se vider la tête, où se l'emplir d'un charmant imaginaire !
a partagé une chronique
Version PC 15 h de jeuTrès bon et très beau jeu ! Il n'est pas répétitif, on s'attache rapidement au chat et à B12. Et jouer un chat était vraiment chouette. Mais il est un peu trop rapide à terminé je trouve surtout qu'il est difficile de s'arrêter quand on le commence. J'ai versé ma petite larme à la fin et un peu avant aussi. Je recommande !
Version Playstation 5 5 h de jeuDéveloppé par les français de BlueTwelve Studio, Stray semble aux premiers abords s’adresser aux amoureux des petits félins domestiques. Mais derrière cet aspect « cute » qui me fait déjà perdre toute objectivité, se cache un jeu d’aventure post-Apo surprenant. Paré pour un voyage éphémère empreint d’une ambiance cyberpunk mélancolique ? Installez-vous confortablement devant l’écran avec un bol de lait, et lisez ce qui suit.
Version Playstation 5 5 h de jeuL’histoire débute par un réveil en douceur et une balade champêtre en plein air avec vos amis chats. Ici la nature semble avoir repris ses droits sur les vestiges industriels construits par l’homme, mais la quiétude ambiante cède vite place à la dramaturgie : notre petit bonhomme tombe dans les tréfonds et se réveille seul et apeuré. N’écoutant que son courage, il brave l’obscurité et débarque dans une cité habitée par des machines. Ces robots, bipèdes intelligents et anciens serviteurs d’une humanité disparue, sont stupéfiés par l’apparence de notre boule de poils, premier être biologique qu’ils aperçoivent depuis des siècles ! Très vite B-12, une IA amnésique secourue par le matou, se téléchargera dans un drone et s’improvisera compagnon de fortune en quête de sa mémoire perdue. Périple coïncidant avec notre besoin de remonter à la surface. Une tâche ardue relevant du fantasme pour les entités robotiques du coin, confinées dans leur ville délabrée des bas-fonds afin d’échapper aux Zurks : bactéries mutantes étroitement liées à l’extinction de l’humanité et des IA.
Bon, le contexte est posé, je n’en dirais pas davantage afin de vous laisser le plaisir de la découverte intact. Stray nous propose un synopsis intéressant aux thématiques classiques mais bien exploitées. Son univers, tout en verticalité, fait le reste. Dextérité féline oblige, les développeurs jouent bien sûr avec les capacités de notre avatar qui peut très facilement prendre de la hauteur ou se hisser dans des petites ouvertures discrètes. L’agilité du quadrupède renouvèle un tantinet notre approche mais ne révolutionne aucunement le genre, même si l’impression de gigantisme permanent ébranle un peu nos repères.
Le gameplay use de mécaniques classiques, essentiellement centrées sur la recherche et la résolution d’énigmes simplistes, entrecoupées de quelques phases de plates-formes ou d’action plus rythmées. Le chat interagi en permanence avec B-12, qui sert de traducteur universel et permet de contourner les limites naturelles de l’animal. On s’amusera bêtement de petites possibilités inutiles, tel que miauler, faire ses griffes ou se frotter amicalement aux passants robotiques. Un aspect ludique sans prétention au service de la narration, essentiellement visuelle et environnementale.
Vivre l’aventure à travers les yeux de ce petit minet roux, aux mimiques aussi réalistes qu'adorables, n’est pas un simple caprice marketing des développeurs. Cela sert bien évidemment l’expérience - nous parlions de proportions plus haut - mais aussi la symbolique tant le contraste entre les deux protagonistes principaux parait irrationnel. Observer ces robots émancipés mimer le style de vie de leurs anciens maitres interroge, et si la curiosité n’est pas votre fort, la direction artistique incite malgré tout à prendre son temps. Le temps d’observer, de communiquer, de se promener dans les ruelles et sur les toits. Bref, de profiter de cette ambiance cyberpunk extrêmement soignée et d’en comprendre davantage sur le background du jeu. Une atmosphère soutenue par une bande son de qualité, emplie de thèmes légers pour appuyer les moments de mélancolie et d’exploration solitaire, mais n’hésitant pas à user de sonorités plus électro lorsque le tempo s’y prête. Quantité et variété sont de mise, pour un résultat au poil.
L’envie de flâner ne serait pas si prononcée sans une solide réalisation. Ça tombe bien, Stray est une belle réussite technique ! Le titre bénéficie de textures propres, les jeux de lumières sont magnifiques et les décors fourmillent de détails. Ajoutez la taille respectable des zones urbaines et l’animation impeccable du chat, et on obtient une performance assez remarquable pour un si petit studio ! D’autant que le contenu tient la route : comptez une demi-douzaine d’heures pour terminer l’aventure en prenant son temps, et sans doute quelques sessions supplémentaires afin de dénicher tous les secrets du titre. En rapport à son prix de vente, rien à redire. Une durée de vie calibrée qui veille aussi à maintenir l’intérêt jusqu’au bout. La boucle de gameplay, malgré quelques phases surprenantes, n’étant pas prévue pour une expérience de jeu prolongée.
Stray n’est pas qu’une simple proposition contemplative. S’il se repose avant tout sur son atmosphère, semblant parfois suspendue hors du temps pour véhiculer sa mélancolie ambiante, il reste un jeu d’aventure intelligent. La complicité naissante entre les deux protagonistes ne laisse pas indifférente, et l’approche féline apporte une touche d’originalité très agréable. Sans être transcendante, l’aventure use de ressorts narratifs intéressants et ces quelques heures de jeu resteront gravées dans ma mémoire. J’en ronronnerais presque.
Qui n'a jamais rêvé d'être un chat ? Passer ses journées à roupiller, se faire caresser, jouer, se lécher le trou de balle... Avouez, il y a de quoi être prêt à gaspiller un vœu si un génie sorti d'une bouteille de Génépi apparaissait devant vous, là !
Version Playstation 5 10 h de jeuStar incontournable des Internets, roi du meme, et rival en terme de bande passante avec les sites pornographiques, le Chat est une créature qui a le don d'intriguer. Et quelle meilleure idée que de proposer un jeu vidéo dans lequel on pourrait se glisser dans la peau d'un Matou ? Pour un marketeux, ça vaut de l'or. Heureusement, le Félin n'a pas besoin de techniques de vente disruptives pour être naturellement un best-seller. Et ça, il y a un studio qui l'a compris et un éditeur qui a flairé les croquettes.
Développé par Blue Twelve Studio et édité par Annapurna Interactive ("What Remains of Edith Finch", "Sayonara Wild Hearts", "Outer Wilds", "Journey"...), "Stray", (littéralement "errant") donne vie au rêve de 99% de l'humanité en proposant une expérience jusque là inédite : jouer un chat, à la troisième personne, dans un jeu d'aventures en 3D.
Et c'est avec plaisirs et ronronnements que l'on constate dès les premières minutes manette en main, qu'il s'agit d'une belle réussite.
Tout d'abord sur le plan artistique : avec une D.A. fascinante, inspirée par Half-Life², ou encore Blade Runner, "Stray" propose une vision un poil rétro-futuriste extrêmement bien pensée et qui tient la dragée haute à des productions bien plus ambitieuses. Ce n'est pas juste beau, c'est envoutant de poésie et d'une douce mélancolie.
Car "Stray" nous plonge dans un monde où les humains ont tout simplement quitté la Terre et où des robots humanoïdes, leurs anciens serviteurs, ont pris possession d'une ville à l'abandon. Créateurs d'une société étrange dans laquelle chacun semble avoir une place définie... mais où le libre arbitre pointe le bout de sa truffe. On croisera ainsi des robots qui aiment la mode, qui éprouvent des sentiments, qui errent, qui... picolent ? Et d'autres qui rêvent d'explorer au delà des limites d'une cité fermée. C'est là que notre petit avatar à moustaches un peu trop curieux intervient.
En faisant équipe avec un petit drone nommé B12, doté de la mémoire défaillante d'un humain, l'insolite équipe va coopérer pour que chacun puisse retrouver sa liberté.
Le gameplay, axé principalement sur les mouvements du Chat, va permettre d'arpenter la cité de rebords en toits, de ruelles en poubelles, de gouttières en fenêtres. Un sentiment de liberté émane forcément de cette manière de visiter les différents quartiers. Un peu à la façon d'un Assassin's Creed. Les capacités de B12 agrémentent le jeu en permettant d’interagir avec des éléments et évidemment, de parler avec les PNJ. Certains proposeront des quêtes annexes incitant à explorer de fond en comble.
Jamais difficile, le système de jeu va demander de résoudre de petites énigmes basées sur l'observation. Quelques phases seront plutôt axées sur l'action et feront monter l'adrénaline : échapper à des sortes de parasites qui empoisonnent certains lieux tout en courant et en sautant pour les éviter, ou encore esquiver des robots sentinelles en mode infiltration.
L'aventure est assez courte, une petite dizaine d'heures, mais se suffit amplement. On fait le tour de ce que propose le titre, aux ambitions mesurées et largement atteintes.
Techniquement, c'est une petite prouesse tant les détails sont beaux et la maniabilité peaufinée. C'est certes, je le redis, la DA qui rend "Stray" aussi beau, mais sans le moteur du jeu et une bonne optimisation, le résultat ne serait pas aussi touchant.
Miaou/20 !