De nombreux anciens membres du personnel de Capcom, dont Kouichi Yotsui (crédité comme Isuke), ont travaillé sur la version arcade originale de Strider et ont conçu Osman comme une suite non officielle de Strider. Yotsui a réalisé les deux titres.
Contrairement au décor futuriste kazakh-soviétique de Strider, Osman se déroule dans un décor arabe cyberpunk éclairé au néon, tandis que Strider Hiryu est remplacé par un protagoniste du Moyen-Orient nommé Kirin qui se bat sans aucune arme. L'intrigue étrange du jeu se moque soi-disant de l'expérience du réalisateur Kouichi Yotsui chez Capcom après Strider.
Nous sommes à la fin du 22e siècle et le monde est passé sous le contrôle d'un seul gouvernement fédéral. Un jour, une nouvelle menace connue sous le nom d'Abdullah l'esclavagiste apparaît, provoquant une terreur et une panique généralisées. La peur dans le cœur des hommes incite à l'abandon de toute activité économique. Le gouvernement fédéral, qui est le fondement du capitalisme et de la civilisation moderne, est devenu rien de moins qu'une idée insidieuse qui corrompt les fondements de la société elle-même. Elle détruit les idiosyncrasies et les variations entre les points de vue nationaux, les étouffant au nom de la « liberté » et de ses propres idéaux internes.
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