10 h
13 h
31.5 h
Pour Max Payne, la descente aux enfers continue : les plaies du passé, la mort de sa femme et de son enfant, ne sont pas refermées. Après avoir quitté la police, à la dérive, accro aux analgésiques, Max part travailler à São Paulo, au Brésil, pour une société de sécurité. Il protège la famille d'un riche magnat de l'immobilier, Rodrigo Branco. C'est sa dernière chance pour fuir son passé.
Mais la situation dégénère et Max Payne se retrouve seul dans les rues d'une ville étrangère, à la recherche de la vérité. Il va devoir se battre pour fuir cette situation impossible.
Merci à Franz26 qui a créé cette fiche
Wow... Avec ce 3é volet, les (mes)aventures de Max Payne prennent une tournure complètement ahurissante !
Version Xbox 360 35 h de jeuRockstar signe là un épisode terriblement violent, et dépeint un monde vraiment ignoble et glauque.
Violent à tous les étages : les graphismes parfaits et le moteur de jeu subliment des gunfights nerveux, les musiques tantôt mélancoliques, tantôt puissantes posent l'ambiance, le scénario qui part complètement en sucette et ferait perdre la tête à tout être humain normalement constitué, la dérive de Max, constamment sous substances... Un véritable régal au niveau de l'écriture, on est pris dans l'engrenage comme rarement dans le monde du jeu vidéo.
Par contre, c'est ultra scripté... et c'est bien dommage car la difficulté en pâtit au bout d'un moment (et pourtant je me suis directement mis en mode "difficile"). Un autre truc particulièrement chiant, c'est le fait qu'après chaque cut-scene, Max reprend systématiquement son arme de poing et range donc sa grosse batteuse/son gros pompe... Juste casse burnes quand à chaque fois, une armée de salopards t'attend et vide ses chargeurs sur ta tronche... Le fait d'être obligé de switcher avant de pouvoir commencer le combat est vraiment vraiment très mal foutu.
Mais tout cela est bien peu de chose face à la qualité indéniable du reste du d'arpenter des niveaux variés (mais répétitifs) et à la difficulté progressive , et de jouer les vrais gros bad-ass avec un Max Payne qui (et ce n'est pas rien de le dire) en prend VRAIMENT plein la tronche cette fois.