24.5 h
35.5 h
50 h
Peu de temps après les évènements du premier opus, le SSV Normandy est en patrouille à la recherche des Geths. Mais cette patrouille finit par une catastrophe puisque le SSV Normandy se fait attaquer par un vaisseau inconnu. Lors de cette attaque, le SSV Normandy est entièrement détruit, le commandant Shepard est expulsé dans l'espace et laissé pour mort.
Deux ans après cet événement, Shepard est littéralement ramené à la vie par l'organisation Cerberus (bien que les détails de l'intervention soient ellipsés au joueur). Le commandant reprend connaissance lors d'un raid sur la base de Cerberus où il était en soins intensifs. Il y rencontre Jacob Taylor et Miranda Lawson qui lui expliquent que son corps a été reconstruit à la demande de l'Homme Trouble, dirigeant de Cerberus, dans le cadre du projet Lazare.
Par la suite, Jacob et Miranda conduisent Shepard à l'Homme Trouble. Ce dernier lui explique qu'il a besoin de lui car il serait le seul à même d'assembler un équipage capable d'affronter la nouvelle menace qui plane sur l'Humanité : les Récolteurs. Les Récolteurs seraient, à priori, des alliés des Moissonneurs. Cette nouvelle espèce s'attaque à des colonies humaines pour enlever leurs colons. D'où leur nom de Récolteurs. L'Alliance Interstellaire (l'entité représentant l'humanité au Conseil de la Citadelle) ignore ces enlèvements et préfère étouffer l'affaire. Shepard est donc l'homme du moment.
Pour faire face à cette nouvelle menace, le Commandant Shepard doit faire équipe avec Cerberus et recruter les meilleurs hommes de la Galaxie pour constituer une équipe d'élite afin de sauver l'Humanité.
Merci à Benben qui a créé cette fiche
Aussi bon voir meilleur que le premier ! Le gameplay s'oriente un peu plus vers l'action pur, mais fondamentalement on retrouve la recette du premier. Une aventure spatiale démesuré dans un univers grandiose, il me reste à clôturer la trilogie avec le 3. Espérons que je trouve le temps. ^^
Version Xbox 360 30 h de jeuPlace au spectacle !! Parce que c'est réellement à un grand space opéra que le joueur assiste pendant environ 30 heures. J'ai passé 35 heures en tout dessus : exploration des planètes et récolte des ressources (moments fastidieux mais j'y reviendrai), et quêtes annexes comprises.
Version PC 35 h de jeuLa scène d'intro, jouable, tient à elle seule du grand spectacle. Sans vouloir spoiler, sachez que vous en prendrez plein les mirettes et plein les oreilles, et encore vous n'êtes qu'aux balbutiements de l'aventure.
Passée cette mémorable mise en bouche, on pose le scénario. Petit rappel : à la fin de Mass Effect I, vous avez vaincu Saren et les récolteurs... Mais ça c'était la partie emmergée de l'iceberg. Après un "réveil" assez spécial, rencontre avec de nouveaux personnages hauts en couleurs, qui vont vous escorter pendant les prémices de l'aventure, et plus si affinités. Là on entre dans le vif du sujet : les premiers ennemis sont là, on va pouvoir dézinguer du Méca piraté ! Et comprendre tout de suite que l'aspect RPG est mis au rencart alors que le côté action et "leader" de commando est accentué.
Déception ? Non, car l'aventure soutient un rythme qui nécessite l'abandon du temps passé à équiper le Commandant Shepard et ses acolytes. Plus de temps à perdre avec ces "conneries" comme dirait Jacob, notre nouveau pote black, adepte de gros flingues et de pouvoirs biotiques. Cette fois, on se contente de distribuer les points de compétence gagnés au début d'une mission, d'attribuer des armes au commando choisi, et hop on est prêts pour en découdre avec la faction du Soleil Bleu, ou pire encore...
Le reste de l'aspect gestion de l'inventaire est remplacé par une gestion des ressources récoltées sur différentes planètes. Ces ressources servent à faire des recherches dans le labo de votre vaisseau (et quel vaisseau !!!), recherches qui ne pourront s'effectuer qu'après avoir trouvé ou acheté des pièces uniques lors de vos missions.
On peut quand même à volonté décider de ce que l'on dira aux différents personnages. Et même s'il est conseillé de la jouer cool avec vos coéquipiers, car leur loyauté est primordiale, vous pouvez joyeusement envoyer paitre qui bon vous semble, même l'Homme Trouble, votre mystérieux commanditaire.
Côté réelles déceptions du titre, on notera l'absurde idée de faire scanner toutes les planètes du jeu à l'aide de la souris (ou du Pad) afin de récolter des ressources. C'est fastidieux et chiant. De plus, et je m'en suis rendu compte vers le milieu du jeu, il n'est pas utile de se casser le bonbon à scanner minutieusement chaque planète : vous récolterez bien assez de ressources en écumant 4 ou 5 systèmes pour acheter toutes les améliorations que vous trouverez.
L'autre déception tient au scénario de Mass Effect II : est trop court !!! Certes, la trame principale reste énorme, quoique moins fouillée que celle du I, mais on la boucle trop rapidement. Une fois que vous avez recruté tous vos coéquipiers, et réalisé pour chacun d'eux une mission secondaire nécessaire pour gagner leur confiance, vous n'aurez que 4 ou 5 missions qui toucheront réellement à la trame principale, avant de pouvoir débloquer la fameuse "mission suicide" pour laquelle vous vous êtes préparé si longuement. Même si chacune des missions est un pur régal, j'ai été déçu par le fait qu'après avoir récupéré tous mes copains et lié des liens avec eux, on en finisse si vite.
Mais hormis cela, Mass Effect est un jeu surprenant, un pur chef d'œuvre de science-fiction. Il prend aux tripes dans le déroulement de l'action, pendant les cinématiques, etc... Et la magistrale musique composée par Jack Wall finit de nous transporter dans un monde aussi vaste et riche que celui de Star Wars.
Pour finir, Mass Effect II est LE must-have pour les fans de SF. Petit conseil : jouez au premier volet avant de vous lancer dans le II !!! Vous pourrez récupérer votre personnage et garder en mémoire des petites choses sympa comme par exemple avec qui vous avez couché, qui vous avez du sacrifier sur Ilos...
Terminer ce jeu pour la deuxième fois procure toujours autant de plaisir, avec cette fois-ci de gros doutes lors de la "Mission Suicide" sachant que les actions effectuées durant le jeu influencent vraiment le dénouement... Quel panard intégral que de retourner au Normandy avec tout un équipage sain et sauf ! Ralala, décidément, ce jeu, et surtout sa conclusion sont véritablement des moments uniques et grandioses. Je suis juste déçu de ne pas avoir pu découvrir le vrai visage de Tali alors que j'ai réussi à lui faire-faire gouloun-gouloun dans la cabine de Shepard ^_^ Bon allez, j'enchaîne direct -et enfin- sur Mass Effect 3, gogogo !
Version Xbox 360 33 h de jeua partagé une chronique
Version Xbox 360 33 h de jeuMoui, enfin en terme de SF hélas, si l'univers est super bien pensé et intriguant, riche et créatif, les clichés ne sont pas en reste, les personnages stéréotypés et/ou creux (creux, en fait, ou bien stéréotypés) ; comme si, dirait-on, le scénariste était un vrai passionné, mais que ceux qui s'étaient occupé des dialogues étaient resté dans le tout à fait casual. Le jeux est une SF gentillette, quoi, même si très riche.
Version PC 35 h de jeuEt finalement, les quêtes se résume à buter tout ce qui bouge. Couverture, tir, on avance. Point. (je n'aime pas les jeux de tirs ; mais on m'a dit tant de bien de Mass Effect, avec son côté RPG...) Mais bien heureusement, les quêtes annexes (qui sont en fait l'essentiel du jeu - la trame principale est peu fournie) sont toutes très différentes dans leur scénario, et toujours liées fortement à notre environnement - équipage, intrigues en cours, etc.
Je trouve dommage de savoir, à chaque mission, que au final je vais zigouiller des Geth ou des mercenaires. Le gameplay se résume à pas grand chose (sauf pour les rares passages avec un autre véhicule, dans des missions) ; et je suis moyennement fan de l'épuration RPG qui a été faite par rapport au premier : plus de gestion de l'inventaire (enfin quoi, on peut pas appeler "inventaire" ce petit listing sans aucune information utile qui nous est fait de nos armes), moindre gestion des capacités et compétences... gestion de nos équipiers qui se résume à passer par le HUD en temps ralenti. Le choix de ne pas donner de carte au joueur d'ailleurs, c'est étrange, je trouve. Et chiant, par moments. Mais j'ai apprécié les amélioration aussi, plus de munition infinies (dans le premier c'était un peu bof bof - ou alors c'est parce que j'étais en facile ?), un côté jeu de drague à la japonaise distrayant, des environnements variés, une méthode de récolte des ressources agréable (pour des amélioration utiles) (contrairement à Benben moi j'ai bien aimé scanner les planètes. Dommage cependant qu'on ne tombe jamais sur des quêtes random, et que donc les planètes ne servent qu'à ça : leurs ressources. Il y a de plus un côté moralement ignoble à l'idée de dépouiller les planètes des ressources qu'on y puise ; story of humanity quoi -__-).
Mais bon voilà, le gros du jeu c'est quand même constituer son équipe et la rendre loyale ; heureusement que c'est intéressant.
(edit : ah oui aussi, je pige pas pourquoi ils ont réduit la Citadelle (qui dans le premier était une vraie portion de la ville, cohérente et vaste) à trois étages et une chambre, 3 magasins et peu de missions.)
J'ai fini le jeu en 35 heures, en faisant toutes les quêtes (j'ai l'impression) et en faisant un peu durer le plaisir après la fin, en vain, car à part dans le Normandy, tout le monde se fout de ce qu'on a fait.