42 h
60 h
105 h
Dark Souls (ダークソウル, Dāku Souru) est un jeu vidéo de type action-RPG et Porte-monstre-trésor développé par l'entreprise japonaise From Software et édité par Namco Bandai pour l'édition NTSC-U/C et PAL. Il est sorti en septembre/octobre 2011 sur PlayStation 3 et Xbox 360 (hormis le Japon pour ce dernier) et en fin août 2012 sur PC.
Il s'agit du successeur spirituel de Demon's Souls. Une suite, Dark Souls II, annoncée en décembre 2012, est prévue pour sortir en mars 2014.
Histoire et univers
Au commencement, il y avait l’Âge des Anciens, où les dragons ancestraux régnaient sans conteste. Puis vint le Feu, amenant la disparité. Certains, cachés dans les Ténèbres, y découvrirent un nouveau pouvoir et s’élevèrent contre les dragons. Gwen, le Seigneur de la Lumière, accompagné de Nito, le Premier des Morts, ainsi que la Sorcière d’Izalith et ses filles du Chaos, eux-mêmes aidés par la trahison de Seath l’écorché, décimèrent les dragons ancestraux et l’Âge du Feu commença.
Des siècles, puis des millénaires passèrent et, parmi les Dieux salvateurs, les humains s’élevèrent. Leur ancêtre, le Pygmée, lui aussi étant détenteur d'un pouvoir du Feu, les affubla de la Marque Sombre. Les humains se transformèrent petit à petit en Carcasse, état entre la mort et la folie.
C’est dans ce contexte que le joueur incarne un de ces humains. Marqué et emprisonné avec les autres de son état, il s’échappera du refuge et deviendra l’Élu. L’Élu d’une nouvelle ère, d’un nouvel Âge.
La particularité de Dark Souls est de parachuter le joueur dans un univers original dont il ne connait rien. Il découvre celui-ci au fil des rencontres avec les autres personnages peuplant ce monde, et à la lecture de la description des objets trouvés. Très subtile, la découverte de l’univers de Dark Souls est un moment fort pour celui qui est curieux de son environnement.
De nombreux personnages (Artorias, Béatrice), monstres (roues squelettes) et objets (les Orbes fissurés permettant d'envahir les autres joueurs, l'épée de Gwyn) font référence aux manga Berserk et JoJo's Bizarre Adventure (le chevalier Tarkus ou l'armure d'épines de Kirk). Mais plus que tout, la quasi totalité des pnj et de nombreux boss sont des reprises de ceux de Demon's Souls (le pnj Patches est d'ailleurs présent dans les deux opus).
Wikipedia
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Allumer le Feu.
13
Obtenir la Fiole d'Estus.
13
Arriver à Lordran.
13
Trouver le serment de la Voie immaculée.
12
Faire sonner la Cloche de l'éveil à l'Église des Mort-vivants.
12
Faire sonner la Cloche de l'éveil dans le domaine de Quelaag.
11
Obtenir la meilleure arme par Renfort standard.
Obtenir la meilleure arme par Renfort de cristal.
Obtenir la meilleure arme par Renfort de foudre.
Obtenir la meilleure arme par Renfort brut.
Obtenir la meilleure arme par Renfort magique.
Obtenir la meilleure arme par Renfort enchanté.
Obtenir l'arme ultime par renfort divin.
Obtenir l'arme ultime par renfort de feu.
Obtenir la meilleure arme par Renfort du Chaos.
Acquérir l'Art de la Marche-abysses.
Acquérir l'Art de l'Embrasement.
Obtenir toutes les armes rares. Sagesse d'un sage
Obtenir tous les sorts.
Obtenir toutes les pyromancies.
Obtenir tous les miracles.
Arriver à Anor Londo.
10
Obtenir le Calice royal.
Tous les trophées obtenus. Félicitations !
Merci à Benben qui a créé cette fiche
Dark Souls. On m'en avait parlé, on m'en avait fait des éloges, on m'avait dit "c'est pour les joueurs purs et durs", alors j'ai voulu tenter l'expérience. Bien m'en a pris, car c'est certainement l'un des jeux les plus marquants que j'ai pu faire.
Version Xbox 360 60 h de jeuJ'ai d'abord été marqué par l'originalité globale du titre. On est parachuté dans un monde sur lequel on ne connait rien, sans informations sur notre quête. D'emblée, on est donc complètement abandonnés, livrés à soi même dans un monde glauque avec une malédiction sur la tronche. Le cheminement de l'aventure se fera tout du long dans la même ambiance. Il faudra par soi même aller chercher des informations, parfois les interpréter, s'orienter tant bien que mal dans un Royaume vaste et diablement varié.
Une fois que l'on s'est adapté à ce "larguage", c'est la difficulté qui frappe. Non pas que Dark Souls soit un jeu compliqué, non, en réalité c'est simplement un jeu extrêmement exigeant. Il demande au joueur d'être constamment concentré, en particulier pendant les duels contre les boss ou certains ennemis particulièrement coriaces. Lors de certains affrontements, une seconde d'inattention et c'est la mort quasi-assurée. La mort est d'ailleurs bien plus frustrante dans Dark Souls que dans d'autres jeux, car elle implique la perte de vos âmes (points d'expérience) non encore utilisées pour monter de niveau ou améliorer votre équipement. De retour dans la partie, le joueur à une chance de retrouver ses âmes si il retourne à l'endroit exact de sa précédente mort sans se faire tuer. Mourir deux fois d'affilée sans récupérer ses âmes signifie leur perte pure et simple. Là où ça devient hardcore, c'est que les ennemis respawnent avec le joueur lorsque celui-ci revient à la vie. Il faut donc taillader de nouveau dans le vif entre le point de contrôle (souvent bien loin de là où l'on s'est fait zigouiller sinon c'est pas drôle), et ses âmes perdues.
Chaque combat contre un ennemi spécial procure un réel sentiment d'accomplissement et un soulagement tel qu'on pouvait en ressentir lorsqu'on battait les boss finaux des jeux les plus prenants des générations Nes/SuperNes/MegaDrive.
Le challenge qui nous est opposé est donc selon moi l'un des meilleurs qui puisse être proposé dans la panoplie de jeux actuels. Lié à un gameplay parfait, il donne envie d'aller jusqu'au bout et même de se surpasser via certains boss optionnels d'anthologie.
Avec sa durée de vie largement plus qu'honorable (60h pour un premier run et encore j'ai loupé pas mal de trucs), et ses musiques rares mais enchanteresses, Dark Souls signe un parcours quasi-parfait.
Seul défaut : deux zones (Le hameau du Crépuscule, et Izalith la Perdue) font passer l'affichage à environ 3 FPS... Et c'est plus que chiant ! Encore heureux que les développeurs aient bien prévu le coup et fait en sorte que les combats dans ces zones soient ou inexistants, ou sur de vastes étendues, empêchant toute chute impromptue.
En tout cas, après avoir réussi à terrasser le boss final, je ne peux que confirmer ce que dit l'image ci-dessous !
http://www.geekunleashed.fr/photos/photos/skyrim-darksouls.jpg
Énorme la photo, j'adore :D.
Version Xbox 360Mon jeu préféré, pour cause j'en suis à plus de 400 heures de jeu cumulées :D
Version Xbox 360 450 h de jeuAmbiance au top, difficulté accrue, level design parfait.
Augmenter les atouts, forger des armes, se casser le cul à farmer de la titanite, se faire envahir dans des zones pas possibles, un coop jouissif, des boss réussis et super durs.
Bref ce jeu je le trouve parfait.
@Benben : Excellent commentaire.
Version PCJe viens de commencer (4h de jeu) et je confirme que c'est hardcore. Je trouvais déjà Witcher 2 plus complexe que Skyrim mais alors celui-là...
En fait, c'est en effet "dur" car les checkpoints sont super éloignés les uns des autres et que t'as pas le droit à l'erreur.
Déjà le 1er boss à Lordran, le Démon Taureau, je le rencontre pour la 1ère fois, il m'a défoncé et balancé dans le vide ^^ Et là, tu dois recommencer du début de la map ! Tu dois donc te retaper une dizaine de petits soldats qui sont en plus assez coriaces ces salauds. Une fois que tu maitrises, ça prends 5 minutes de refaire le passage mais bon, quand même. En plus, avec ces petits soldats, t'anticipes mal un coup et il te vire bien un quart de ta vie sans souci. Alors que c'est l'ennemi le plus bas niveau possible (à part p-e les rats...) A un moment, j'ai voulu rushé, y a 3 soldats qui m'ont foncés dessus, résultat : la mort.
Et en effet, une fois que tu meurs, t'as une chance de récupérer les âmes que t'as perdu en mourant, mais faut encore réussir à aller les chercher à l'endroit où t'es mort !
Et heureusement, quand tu tombes d'un pont ou d'une falaise, ils te remettent le petit scintillement vert au dessus où tu peux l'attraper.
Là où j'ai rigolé (jaune), c'est quand je me suis rendu compte qu'on perdait définitivement cette "chance" de récupérer ses âmes si on remourrait à la partie suivante...
Donc, oui faut pas mourir vous allez me dire. Mais bon, le jeu s'appelle "Prepare to die" et c'est pas pour rien :D
Bref, je vais essayer de m'accrocher, le jeu en vaut quand même la peine.
Bon le mauvais point, c'est les graphismes. C'était déjà pas ultra beau à l'époque, le portage Console>PC était vraiment basique, c'est donc des graphismes PS3 de 2012, même sur PC. Pas de full hd, pas de belles textures, c'est bloqué à 30fps.
Mais à côté de ça, les animations sont bien foutues (le dragon me plait énormément, pour ce que j'ai vu pour l'instant), l'interface est plutôt claire et le level design est énorme. Les combats sont sympas aussi, ça manque un peu de fluidité mais c'est largement jouable.
Après la découverte tardive de la licence avec le génial Demon’s Souls, puis une confirmation dépassant toutes mes attentes par l’intermédiaire de Bloodborne et de son DLC, je m’atèle désormais à l’opus le plus prisé de la saga : Dark Souls. Dans sa version Prepare to Die évidemment, afin de profiter d’un contenu maximal. Compte-rendu de ce périple inoubliable.
Version Playstation 3 55 h de jeuL’aventure débute dans des geôles peu reluisantes où l’on se familiarise tranquillement avec le gameplay. L’habitué de la série reprendra vite ses marques, pour les autres de nombreuses heures seront nécessaires avant de maîtriser les tenants et les aboutissants du système. Rappelons que nous sommes en face d’un action-RPG très exigeant, laissant une liberté totale au joueur dans la construction et la gestion de son personnage. A titre personnel et histoire de varier un peu vis-à-vis de mes précédentes expériences, j’ai opté pour un build magicien vraiment jouissif. Mais on s’en fou. Comme à l’accoutumé la progression s’effectue essentiellement dans la douleur tant le titre ne pardonne pas le moindre échec et impose une maîtrise totale de son personnage. Car il faudra anticiper les multiples dangers matérialisés de bien des façons : level design traître, ennemis vicieux, pièges impitoyables, etc… Désormais des feux de camps sont disséminés à travers les niveaux, faisant office de checkpoints salvateurs ils permettent aussi de dépenser ses âmes ou d’accéder à la forge par exemple. A peine de quoi pallier à ce lourd sentiment d’insécurité qui vous rongera tout au long de l’aventure ! La montée en puissance matérialisée par les âmes et la quête permanente d’un équipement optimal devient vite virale, et les petits défauts de son prédécesseur semblent en majorité gommés (tendance du monde en tête). Ces explications succinctes cachent un système très complet aux possibilités quasi infinies. En résulte une recette légèrement améliorée frôlant plus que jamais la perfection.
Contrairement à Demon’s Souls, plus de hub central duquel se téléporter dans les différents lieux à visiter. Désormais votre havre de paix, le Sanctuaire de Lige-feu, fait partie intégrante du monde et l’univers ne forme qu’un seul et immense tout. Comprenez que les zones sont intégralement reliées entre elles, souvent par d’incroyables raccourcis d’une cohérence magistrale, et que vous pouvez vous rendre d’un endroit opposé à l’autre à pied. Même si passé un certain stade de l’aventure la téléportation sera de rigueur. Et nous arrivons à l’autre gros atout de Dark Souls : son univers.
Toujours dans un esprit Dark Fantasy traditionnel, la direction artistique fait preuve d’une qualité visuelle rare via un enchaînement de zones immenses, atypiques et variées, portées par une ambiance délicieusement immersive et un level design grandiose. Un terme qui ne rend même pas justice à la conception des niveaux tant ces derniers sont maîtrisés de bout en bout. Car l’univers de Dark Souls se savoure et se révèle bride par bride pour, au final, constituer un tableau d’une richesse rare. L’ensemble forme un monde unique qui ne cesse d’étonner tant sur le fond que sur la forme. Un univers sombre, inquiétant et brutal, mais aussi parfois empreint d’une beauté mélancolique laissant transparaître une pointe d’espoir. Demon’s Souls avait placé la barre très haute, son successeur le dépasse pourtant sans mal. Sacrée performance ! La réalisation ne fera pas défaut et matérialise ceci à l’écran de fort belle manière. Une 3D de qualité, des textures honnêtes, une animation exceptionnelle, et aucun problème de framerate ou de fluidité en ce qui me concerne. Précision utile car à la sortie du jeu ces soucis furent pointés du doigt. Des patchs ont dû passer par là. Bref, sans être éblouissant le titre bénéficie d’une technique solide faisant honneur à la formidable DA susmentionnée. What else ?
Impossible d’évoquer un Souls sans parler de son bestiaire. Si le casting présente son lot d’ennemis connus (dragons, squelettes, morts-vivants, etc…), il jouit également d’une diversité et d’une originalité détonante que je vous laisse découvrir par vous-même. Chaque zone garantissant des ennemis propres dont il faudra se méfier. D’autant plus qu’il est possible de se faire envahir par des mobs uniques ou des joueurs malavisés. Quant aux boss, ceux-ci n’ont pas fini d’hanter vos nuits ! Rarement un jeu n’aura été aussi généreux en la matière. Ils sont nombreux, variés, et bien souvent un modèle de design dégageant une puissance folle ! Si leur difficulté sera à l’appréciation de chacun, selon le build mis en place, personne ne ressortira indemne de ces affrontements dantesques. Contrairement aux apparences vous ne serez pas totalement seul dans cet enfer, et quelques PNJ viendront vous prêter main forte ou, au contraire, vous barrer la route. Des quêtes qui ne sont pas à négliger puisque, en sus d’apporter quelques vagues éclaircissements scénaristiques, elles sont souvent à l’origine d’objets très intéressants. Nos choix et nos actions ayant encore des répercussions immédiates sur le monde qui nous entoure.
Si l’absence de scénario tracé peut laisser un sentiment de vide narratif, le background du monde de Dark Souls n’en reste pas moins étonnement riche. Seulement il faudra rassembler les morceaux du puzzle via les rares dialogues présents et, surtout, se référer aux descriptions détaillés des objets. Chacun analysera ensuite l’ensemble selon sa perception quitte à rester dans le flou sans un minimum de réflexion. Vous êtes prévenu.
Inutile de s’attarder sur la durée de vie vertigineuse du titre. From Software nous propose un périple long et passionnant, agrémenté d’un DLC fourni et d’une rejouabilité intéressante via le New Game Plus. En faire davantage relèverait de l’insolence. La bande son mérite également son lot de compliments. Composée essentiellement de musiques discrètes pour mieux apprécier les bruitages environnants saisissants, quelques thèmes magistraux engendrés par d’épiques affrontements viendront briser cette agréable monotonie. Ajoutez un doublage Anglais solide pour obtenir un constat sonore irréprochable.
Concluons cette modeste critique avant que la longueur de l’article ne vous fasse fuir. Avec Dark Souls From Software nous happe à nouveau dans un monde impitoyable, parfaitement conçu et pourvu d’une ambiance exceptionnelle. Consolidée par un gameplay plus que jamais maîtrisé, une bande son excellente et une durée de vie faramineuse, l’expérience vécue surpasse celle de son aîné pour s’inscrire parmi les plus marquantes et immersives de la console. Un pur cher d’œuvre, pilier d’une saga désormais mythique à mes yeux.
Très frustré de pas avoir pu faire le Dragon du DLC, du fait d'avoir tué le PNJ qui permettait de le faire descendre et ce en pensant que c'était la solution pour que le dragon apparaisse.
Version PCUn jeu bien hardcore qui m'aura grandement fait rager ; mais en même temps qu'elle extase au moment de la mort d'un boss qui t'as fait try pendant des heures.
Je viens de le finir (sans le DLC malheureusement (ou pas vu la tronche des boss qui s'y trouvent), c'est mon ton premier Souls-like et on peut dire que j'en ai bavé. J'avais jamais joué à un jeu comme ça de toute ma vie de casu et la j'ai l'impression de rentrer dans la cour des grands.
Version Xbox 360 79 h de jeuPour autant je mettrais pas une note hyper haute parce que oui c'est un très grand jeu mais oui ça à très mal vieilli niveau qualité de vie surtout comparé au FromSoft récent genre Elden Ring ou Sekiro (les animations très lentes, les runbacks interminables, les gros lags sur certaines zones genre Blightown ou New Londo (bon après c'est surêment un truc qui a été réglé dans la version remaster)).
Plus certains boss franchement baclé voir carrément recopié sur d'autres (ils ont quand même mit le premier boss 3 fois en changeant juste la barre de vie et deux attaques) et certains ennemis vraiment abusés genre les fantômes qui tape à travers les murs.
En somme 99% de souffrance pour 1% de kiff mais alors ce 1% quel vrai ptn de kiff ! Jamais eu autant de satisfaction et de soulagement en jouant à un jeu. Quand tu bat Ornstein et Smough au bout de dizaines et dizaines d'essais tu te sent invincible.
Rien que pour cette sensation extraordinaire il faut faire ce jeu, car il en vaut la peine.