Détails

Durée moyenne du jeu

9 h

Date de sortie EUR JP USA

26 mars 2021

Résumé / Contenu du jeu

Après les deux remakes Crash Bandicoot N. Sane Trilogy et Crash Team Racing Nitro-Fueled les développeurs de Toys for Bob proposent ici le premier jeu original Crash Bandicoot sur consoles de huitième génération.
Crash Bandicoot 4: It's About Time constitue la suite directe de la trilogie originale de Naughty Dog, 22 ans après le troisième volet.

De nombreuses nouveautés permettent de varier le gameplay. Beaucoup de skins seront déblocables via des actions de jeu pour personnaliser l'expérience, et dans cette aventure Crash pourra découvrir des masques quantique aux propriétés surprenantes :
Kupuna-Wa (Masque du temps)
Lani-Loli (Masque de matière)
Ika-Ika (Masque de gravité)

En plus du retour tant attendu sur N. Sanity Beach, il sera également possible de découvrir de nouveaux mondes lors de l'aventure. Enfin, si l'histoire complète pourra être parcourue avec Crash ou Coco, d'autres personnages comme le Dr. Neo Cortex et Dingodile seront jouables.

Saga

Commentaires (3)

  • avatar Benben
    8 / 20Le 22 Février 2022 à 09:04Benben

    Avis flash... ça évitera un pavé pour une fois !

    J'ai lancé Crash Bandicoot 4 en me disant que ça me ferait un petit jeu à grignoter avant Elden Ring. Une grosse semaine me paraissant suffisante pour en faire un tour quasi complet.

    Quelle. Erreur. Putain.

    Ce jeu est une torture, un pur condensé de sadisme. Il démarre plutôt bien avec les deux premiers niveaux qui servent de tutoriels et qui proposent déjà un certain challenge pour être poncés à 100%.

    Puis arrive le 2é monde, et donc le 3é niveau, et là, on passe dans une autre dimension. Alors certes si on se contente d'y aller en ligne droite, ça se fait tranquille.

    Mais si on a envie ne serait-ce que de casser toutes les caisses... ou pire d'aller chercher la gemme cachée ? Mais c'est du grand n'importe quoi ! Et encore, le 3é niveau, ça peut aller, c'est difficile mais avec un peu de persévérance au bout de 20 essais, on arrive à tout récupérer.

    Ensuite, c'est l'enfer.

    C'est inutilement difficile. Les caisses cachées sont TROP cachées. Si on rate certains objets on ne peut plus les récupérer sans recommencer tout le niveau.

    Et je ne vous parle pas des niveaux "flashback" ! Allez, si, j'en parle. Déblocables en récupérant des VHS dans certains niveaux si on les atteint sans se faire toucher une seule fois, ces mondes bonus sont en fait des parcours faits de caisses à briser. Dans le bon ordre. Prenez un valium avant d'essayer.

    Version Playstation 5 15 h de jeu
  • avatar Franz26
    14 / 20Le 24 Mars 2022 à 08:11Franz26

    Associé aux heures de gloire de la Playstation et parmi les jeux de plates-formes les plus en vogue de sa génération, le Bandicoot, longtemps oublié, fit un retour détonant avec la compilation N’Sane Trilogy en 2017. Trois remakes aux petits oignons des premiers épisodes, succès commercial et critique ayant remis la série sur les bons rails. Ce nouvel opus cross-gen intitulé : It’s About Time profite de cette aura retrouvée, et cherche à séduire tant les amateurs du genre que les nostalgiques de la licence. Voyons voir si la magie opère toujours avec ce 4e volet officiel, terminologie désavouant une large partie des jeux développés depuis le 3e titre.

    Passé une introduction prétexte et toujours aussi farfelue, Crash reprend du service aux côtés de son fidèle Aku-Aku, de la belle Coco et de nouveaux venus que je tais volontairement. Bien entouré, notre boule de poils rousse va ainsi mettre sa dextérité à l’épreuve afin de déjouer, encore, les plans machiavéliques du docteur Nefarious tout en composant avec une défaillance temporelle l’envoyant aux 4 coins du monde, et autant d’époques différentes ! Un contexte propice à un dépaysement total sans aucune cohérence entre les environnements traversés. Lieux désertiques, futuristes, jungle, Asie, Indes Orientales, etc… autant de zones extrêmement soignées et conductrices d’ambiances bien différentes. Cela se traduit à l’écran par un véritable enchantement visuel, tant en terme de direction artistique que de technique pure. Des décors hauts en couleur et une animation détonante confortent ainsi une réalisation de grande qualité.

    Le gameplay reprend la recette habituelle de la franchise, alternant entre phase de plates-formes en scrolling horizontal et en 3D libre, néanmoins gouvernées par un effet couloir continu. La grosse nouveauté de cet opus réside dans les masques à disposition du Bandicoot, lui conférant ainsi diverses capacités : switcher entre parties du décor matérielles et immatérielles, déclencher un super tourbillon, ralentir le temps ou encore inverser la gravité, voilà les pouvoirs originaux qui vous attendent ! Une vraie réussite, véhiculant un peu de piment à un gameplay minutieux mais qui malheureusement n’arrive jamais à trouver le juste équilibre. Car ce quatrième épisode de Crash Bandicoot est d’une difficulté aberrante. Oubliez toute logique et ne comptez pas sur une hypothétique courbe de progression : d’entrée se sont de grosses fessées gratuites qui attendent les plus perfectionnistes ! Si avec un peu de persévérance terminer les niveaux s’avère largement abordable, récupérer l’ensemble des gemmes et relever les challenges en présence impose un aspect « Die and Retry » complétement abusif et, au final, peu gratifiant tant l’absurdité des obstacles et la précision demandée va vous écœurer. Un mauvais calibrage, accentué par des niveaux trop longs et peu adaptés aux défis proposés, qui nuit grandement au plaisir de jeu.

    Toujours dans les erreurs de game design, le soft cherche à multiplier les personnages secondaires et la variété des situations… au détriment de la jouabilité ! Il est déjà difficile de maitriser parfaitement Crash et Coco, mais lorsque les capacités des guests viennent s’en mêler : préparez les manettes de rechange ! Je suis d’ailleurs étonné que ma DualShock 4 ait survécu à ce périple… En résulte des sensations mitigées puisque l’on se retrouve avec un gameplay généreux empli de bonnes idées, mais totalement déséquilibré. De quoi frustrer les joueurs les plus motivés.

    Difficile alors de juger la durée de vie du titre, plus artificielle que conséquente. Car outre les 6 gemmes à récupérer dans chaque niveau, les cassettes défis et les courses chronométrées, les développeurs ont eu l’idée de génie de rallonger nos tourments avec un mode miroir pour chaque monde du jeu ! Quelques variables dans les secrets à débloquer et un filtre graphique original (mais nuisant à la visibilité...) comme seuls facteurs de motivation pour nous inciter à repartir au charbon… Franchement dispensable.

    La déception prédomine donc, après plus de 40 heures à m’acharner sur le titre pour atteindre un pourcentage honorable de 83 unités au compteur. Pourtant Crash Bandicoot 4 ne démérite pas, il excelle d’un point de vue artistique et expose un univers coloré animé à la perfection, avec un côté cartoon qui apporte une touche d’humour agréable. Une réalisation de haute voltige, de surcroit appuyée par une bande son d’excellente facture et puisant dans un sound design fidèle. Bienfaisant sur la forme, le dernier né de la franchise ne l’est malheureusement pas sur le fond.

    Soit vous prenez le jeu comme un « Die and Retry » hardcore et vous allez chialer des larmes de sang devant l’aberrance du challenge, accentué par une maniabilité perfectible notamment dans l’appréciation des sauts. Soit vous partez pour une finalisation partielle des niveaux, afin de profiter des points positifs du game design et de la plastique du titre en ignorant les objectifs secondaires. Flirtant entre les lignes de cet entre-deux, j’ai probablement un peu trop insisté sur les collectibles à tel point que mon expérience de jeu ne fut pas toujours très plaisante.

    Preuve qu’un grand jeu vidéo ne peut faire l’impasse sur des petits détails moins tangibles comme l’équilibrage de ses diverses mécaniques, Crash bandicoot 4 : It’s About Time souffre d'un énorme problème de calibrage (#Jackie&Michel) où le ratio efforts/satisfaction ne plaide pas en faveur du joueur. Plutôt amateur de challenge et du « Try Hard », je suis pourtant passé en partie à côté du sujet, sans ressentir ce sentiment d’accomplissement habituel après tant d’acharnement. Les qualités soulignées dans cette critique en font malgré tout un bon jeu de plates-formes, et mon amour pour la licence m’incite à la sévérité. Sachez seulement à quoi vous attendre avant de tenter l’aventure. « Bon chance »

    Version Playstation 4 45 h de jeu
  • avatar Benben
    8 / 20Le 20 Avril 2022 à 09:20Benben

    Crash quit.

    Cela ne m'arrive pas souvent, voire quasiment jamais, mais je jette l'éponge. J'ai bien tenté d'y mettre de la bonne volonté, de revenir l'esprit apaisé après avoir tronché Elden Ring... Je m'étais juste fixé pour objectif de le terminer en ligne droite sans aller chercher les gemmes cachées et les caisses enfouies dans les recoins les plus sombres du jeu. Mais rien n'y fait, ce Crash Bandicoot 4 est pour moi un ratage dans les grandes largeurs.

    On pourra lui reconnaitre un vrai respect des premiers jeux. Au niveau de l'ambiance toujours légère et loufoque façon cartoon, mais aussi dans le game-design avec la carte sur laquelle on choisit son niveau, les mondes qui alternent le scrolling en profondeur ou à l'horizontale, les passages endiablés à califourchon sur un animal, etc...

    La direction artistique est aussi excellente, Crash Bandicoot n'a jamais été aussi reluisant, les niveaux sont emplis de détails, les décors sont vivants, colorés et tous originaux. On retrouve les sonorités exotiques qui font l'identité de la franchise et qui rythment les différentes phases de jeu.

    Mais ce gameplay de l'enfer.

    Alors même que les développeurs ont eu la gentillesse de prévenir des dangers en approche en plaçant intelligemment et de manière à en apprendre les mécanismes, les pièges qui attendent Crash, ils tombent dans le sadisme pur et décomplexé un millième de seconde plus tard.

    Ici, l'échec est démotivant car on ne retrouve aucun équilibre dans la manière d'avancer. On est sans cesse pris à contre-temps dans des niveaux beaucoup trop longs (deux à trois fois plus longs que dans les trois premiers jeux) qui regorgent de passage à la difficulté juste débile.

    Autant j'adore apprendre de mes erreurs sur Cuphead, autant je ne supporte pas de crever à cause de choix de level-design absurdes dans Crash 4.

    Version Playstation 5 15 h de jeu
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