leopolochon a dit (10 Juillet 2025 à 16:31)
jeu au gameplay inintéressant, mais au scenario captivant
Solidia a dit (07 Juillet 2025 à 16:43)
https://delartdetreunegameuse.blogspot.com/2025/07/chronique-jv-gris.html
leopolochon a dit (07 Juillet 2025 à 11:10)
un peu plus ouvert que le précédent mais c'est bien sa seule qualité( et des boss un peu meilleurs aussi)
leopolochon a dit (07 Juillet 2025 à 11:09)
un jeu véritablement exceptionnel, sur tous les points
Mijak a dit (06 Juillet 2025 à 23:26)
Un jeu très sympathique. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, je pense que je le voyais un peu comme un autre Journey. Au début j'étais dubitatif, et puis j'ai vu la liberté, l'aventure, l'exploration... et j'ai adoré.
Le jeu est un peu le côté exploration d'un RPG, mais c'est pas un RPG. C'est un jeu d'exploration, motivée par des quêtes qui nous font courrir partout et collecter des trucs. La composante escalade (Zelda BOTW etc) donne une vraie liberté d'aborder nos destinations en y réfléchissant, pesant le pour et le contre. Des passages puzzle utilisant cela aussi (couplé à une logique d'interrupteurs basique) nous poussent à penser nos mouvements à fond.
L'aspect plate-forme est donc central.
Parlons du décor, maintenant, du background. On est, graphiquement et dans les design, dans quelque chose qui rappelle la SF de Moebius, des lignes claires, très épuré. C'est cela qui permet aussi d'avoir une carte immense sans temps de chargement. C'est déroutant au début, mais ça permet beaucoup de choses, à commencer par la distance d'affichage et de vue des objets, qui est plus claire et puissante quand le décor est simple.
On est donc sur une planète peuplée d'humains qui portent des masques, et peu à peu on va découvrir ce monde, ces biomes parsemés d'épaves de vaisseaux spatiaux, et on va découvrir sa culture et son histoire.
Tous les dialogues sont textuels, pas de doublages. Les textes sont courts, et utilisent si besoin des pronoms neutres (avec les masques, et sans doublage, on sait pas toujours le genre de la personne face à nous - c'est plus facile en anglais, vu qu'ils ont une langue plus neutralisée). C'est assez rare pour être noté.
Silloner ce monde avec notre aérocycle, seul, chercher sur la carte ou autour de nous les irrégularités, les points d'intérêts, les noter pour plus tard. Voir la montgolfière d'un cartographe, tout là-haut, et se dire : "oh bordel c'est haut, bon, allez"...
Ce jeu est très reposant. Pas de stress, pas d'ennemis, pas de mort, et des mécaniques très satisfaisantes, comme l'escalade ou le champ de force qui fait planer.
Le jeu permet à un moment de s'achever, mais ne sauvegarde pas sur le dernier tronçon, ce qui permet de reprendre la partie avant et de continuer notre initiation librement. Car il y a beaucoup à faire, pour rendre des services, pour découvrir le passé de ce monde, les secrets çà et là, rassembler les masques, etc.
Karineahah a dit (06 Juillet 2025 à 19:26)
Mon premier RPG, et c'était une expérience incroyable, de loin l'un des meilleurs jeux auxquels j'ai pu jouer (et de loin).
Franz26 a dit (06 Juillet 2025 à 08:42)
Jeu indépendant ayant percé la toile avec fracas, le succès de Balatro repose pourtant sur une variante du Poker. Avec son aspect visuel minimaliste, c’est bien sur des mécaniques de gameplay addictives et intelligentes que repose toute l’expérience. Et une fois que vous y avez goutée, difficile de lâcher la manette !
Le concept de Balatro est on ne peut plus simple : marquer un certain nombre de points avec des mains de Poker pour passer à la manche suivante. L’objectif sera donc d’aller le plus loin possible, sachant que le score à atteindre augmente à chaque blinde et que des « blindes boss » imposent une contrainte spécifique toutes les 3 manches.
Afin de relever le défi et à la manière d’un rogue-like, il va falloir personnaliser son deck de base au fur et à mesure des rounds grâce aux dollars récoltés après chaque blinde. A vous de définir une stratégie adaptée, en acquérant des jokers tout d’abord. Stockable en nombre limité dans vote inventaire, ces derniers octroient divers effets bonus : gain d’argent, taille de la main, boost des points marqués par les cartes, etc… A vous de veiller à un maximum de synergie entre eux pour maximiser les performances de vos mains. En sus des jokers, l’acquisition de coupons, de consommables, de cartes de tarot et de planètes sont aussi un facteur clé du succès. L’ensemble offre divers bonus et/ou améliore les points générés par le type de main joué : brelan, carré, suite, etc…
Tout ce crafting moyennant finance est régi par un magasin accessible entre chaque blinde, avec un système d’apparition aléatoire et d’ouvertures de boosters. Mécanique de draft totalement addictive, à laquelle s’ajoute la probabilité d’effets spéciaux plus ou moins rares et puissants. Bref, je vous passe quelques détails et subtilités pour vous laisser découvrir ce concept génial par vous-même, incroyablement prenant et sans cesse renouvelé ! Car, entre l’aspect aléatoire des cartes, que l’on va orienter bien sûr, mais aussi les variantes de base et les niveaux de difficulté à sélectionner, se sont des dizaines d’heures d’addiction coupable qui vous attendent ! Un régal.
Techniquement, Balatro ne s’encombre pas de fioritures et propose un visuel propre, lisible et bien agencé. On en demandait pas plus pour un jeu de cartes. Malheureusement cette version Switch, que j’ai privilégié pour son aspect portatif, chie dans la colle ! Au fur à mesure des manches et de l’accumulation d’effets en tout genre, le titre se met à ramer méchant, jusqu’à en devenir limite injouable ! Une parade existe heureusement : fermer l’application et la rouvrir dès que ça devient pénible, sans conséquence sur la partie en cours (sauvegarde auto à chaque manche). Une contrainte dont on se serait quand même bien passée… On pourra aussi pointer du doigt la jouabilité à la manette : passable. Le titre semblant bien plus adapté au tactile sur smartphone ou à la souris du PC. Côté bande son les effets sonores liés aux cartes font le taff, tandis que les musiques restent sans surprise assez anecdotiques.
Avec son aspect austère et son concept en apparence simpliste, Balatro ne paie pas de mine. C’est pourtant une véritable pépite à la profondeur de jeu insoupçonnée ! Les parties s’enchainent avec intensité et, malgré les carences de cette version Switch, tous les amateurs de Poker/Casino/jeux de cartes ne peuvent que se régaler ! Et si après une trentaine d’heures et au moins autant de parties je range avec satisfaction cette petite carte SD dans sa boite, nul doute que je m’offrirais une session occasionnelle pour le frisson du jeu.
z0rr0 a dit (05 Juillet 2025 à 18:09)
Le jeux est tres beau , mais ça
s'arrete la , l'histoire traine trop est la fin est vraiment discutable !
Le 1er et dernier Uncharted pour moi