AmauB a dit (31 Juillet 2024 à 00:06)
C'est mon deuxième AC, dont pour ordre de comparatif avec le premier, il y a pas photo, il est bien meilleur. Après, j'ai beaucoup entendus dire comme "l'un des meilleurs jeux de tout les temps" ou encore "le meilleur assassin's creed". Personnellement, je ne comprends pas la hype.
Niveau histoire, on en a une vraie, avec des personnages hyper cool, et un protagoniste qu'on apprend à aimer et qu'on voit se développer. On est à fond dans les mystères qu'avait intégré le premier opus, et ça fais du bien d'avoir quelques réponses, même si, encore beaucoup de question.
Côté gameplay, c'est vraiment bien, même si je trouve les commandes assez catastrophique. Quand tu fais une course poursuite et que ton personnages s'accroche aux murs et ne saute pas, c'est une enfer. Sinon, rien à dire à part que c'est vraiment bien.
On a une carte varié, avec pleins de petites choses à faire, assez redondantes pour les coffres, mais ça, c'est juste du bonus. Les glyphes à déchiffrer, avec un petit côté enquête était très sympa, même si certaines énigmes n'étaient pas du tout intuitive, mais ça, passons.
La fin est rapide, peut-être trop rapide pour prendre le temps d'être surpris, avec un combat final qui se veut être impressionnant, mais qui finalement, est très décevant. Et le "boum" de fin, à voir comment ils le développent dans le prochain opus.
Globalement, on va pas se mentir que c'est un très bon jeu, et j'imagine parfaitement la hype qu'il a pus recevoir à l'époque. Maintenant, les graphismes (en particulier les personnages) laissent à désirer, mais il vieillit très bien je trouve. C'est un bon jeu, ça c'est certain, qui ose casser les codes qu'on pouvait avoir il y a 20 ans.
Fusion a dit (29 Juillet 2024 à 00:18)
Je suis arrivé au premier boss qui m'a vraiment fait souffrir.
D'abord, il se situe après un looong passage de canons sur le fleuve, pas impossible mais fastidieux. Encore heureux que j'aie eu une possibilité de sauver avant sinon j'aurais ragequit.
Ensuite, la tour Ronfloski était très dure, dans le sens où les mêmes attaques tactiles, faites à l'identique, marchaient ou pas selon les cas. J'ai échoué une dizaine de fois avant d'y arriver un peu par chance, ce n'était clairement pas le moment le plus passionnant ni plaisant jusqu'ici...
Mijak a dit (28 Juillet 2024 à 13:32)
Un puzzle-game où il s'agit de trouver des assemblages de notes, une touche pour chacune, pour progresser dans l'environnement. Les mouvements des plate-formes sont associés à la différence de hauteur entre les notes, un, deux, trois tons, etc. Sympa, sans plus.
Mijak a dit (27 Juillet 2024 à 12:50)
Effectivement, il est court.
Un jeu très sympa et très original d'énigmes narratives, avec une phrase qui décrit une histoire/une intrigue, et des scènes et personnages à placer dans des cases (huit au max, les scènes sont assez courtes) pour parvenir logiquement au déroulement de l'histoire. Visuellement, c'est minimaliste et très joli/mignon, les illustrations s'adaptent aux conséquences qu'on met en scène. Les musiques sont des reprises de morceaux classiques.
Certaines histoire vont vous faire vous creuser la tête, mais globalement c'est assez intuitif, donc ce n'est pas chiant ou frustrant (mais du coup c'est plutôt rapide).
kriswoo a dit (25 Juillet 2024 à 22:56)
Au départ, j'ai pas trop accroché et j'ai trouvé le jeu répétitif et sans trop d'intérêt. En persévérant, j'ai commencé à apprécier, à la fois l'histoire et la poésie de ce jeu très étonnant et atypique.
kyrocom a dit (24 Juillet 2024 à 16:25)
Un jeu sous-côté malgré que le contenu post-game n'ait pas grand chose d'intéressant
Franz26 a dit (24 Juillet 2024 à 07:37)
Ah le Japon féodal, période de l’histoire souvent fantasmée par les joueurs, ancrée dans l’imaginaire et prisée par de nombreux médiums. Et voici que Sucker Punch nous propose une immersion en open world sur l’île de Tsushima en pleine invasion Mongole ! C’est dans ce contexte historique à la sauce « triple A » que vous allez prendre les commandes de Jin Sakai, un jeune Samurai prêt à tout pour sauver famille et patrie.
Bon, je ne vais pas vous la faire à l’envers : Ghost of Tsushima coche toutes les cases du gros blockbuster en monde ouvert qui se respecte. Ne vous attendez donc pas à une expérience révolutionnaire sortant des sentiers battus, puisque la principale plus-value du titre réside dans son univers à la beauté enivrante. Rarement onirisme et poésie n’auront aussi bien définie l’atmosphère que dégage cette épopée nippone, emplie de panoramas naturels contemplatifs d’exception. Ghost of Tsushima exploite ainsi son cadre jusqu’à la lie, tant via une mise en scène généreuse qu’avec des éléments de gameplay atypiques. Car si le jeu nous propose des points d’intérêts sous forme de sources chaudes ou de lieux de méditation, c’est davantage pour renforcer l’immersion que pour les maigres bonus induits. Une véritable ode à la nature, idéalisation d’une campagne japonaise caractéristique où coexiste paysans, voleurs et samurais. Un contexte aguicheur, mis en valeur par une réalisation séduisante.
Si on lui reprochera quelques bugs d’affichage et une modélisation des visages perfectible, Ghost of Tsushima se pare d’une technique impeccable. La 3D est propre, l’animation excellente, le cycle météorologique incroyable, les effets de lumière hallucinants, les temps de chargement inexistants, etc… Bref, du bel ouvrage et un ensemble de superlatifs qui passerait pourtant presque inaperçu à la vue des normes actuelles. La direction artistique vient toutefois embellir la copie, et la version « Director’s cut » de ce titre PS4 vous en mettra plein la vue ! Vous vous surprendrez d’ailleurs à poser la manette plus d’une fois afin de contempler les vastes prairies fleuries à l’horizon, marquées par l’ondulation du vent et rythmées aux bruits de la faune sauvage. Dépaysant.
Maintenant que nous avons longuement abordé les contours du soft, attardons-nous un peu sur ses mécaniques et ses combats. Ils s’articulent autour de la posture de Jin, à adapter en temps réel au style de l’ennemi afin de le contrer plus efficacement. A vous de réagir au quart de tour si vous faites face à un lancier, à un épéiste ou à une brute par exemple. Utiliser la posture optimale va notamment influer sur la défense de l’adversaire, qui succombera en deux ou trois coups de lame une fois déstabilisé. Jin peut également poser ses couilles sur la table et défier ses victimes en les interpelant de loin comme une racaille. S’ensuit alors une petite animation pré-combat, qui vous invitera à dégainer au bon moment pour occire les premiers opposants dans un effet de style aussi classieux que sanglant. Quoi qu’il en soit l’esquive et la parade restent au cœur du système et, selon un timing parfait, permettent de contre-attaquer férocement.
Si vous allez empiler sans remords ou presque les cadavres derrière vous, Jin va aussi livrer des duels traditionnels matérialisés par une petite cinématique et une mise en scène digne des plus grands films de Kurosawa. Réalisateur auquel le titre rend allégrement hommage, notamment par un mode graphique noir et blanc portant son nom. Ces duels imposent plus que jamais une bonne gestion des distances, de l’esquive et de la parade, ainsi que des choix avisés entre les commandes d’attaques rapides, fortes, et chargées. Malgré un système de lock et une gestion de la caméra perfectibles, je vous recommande de monter le niveau de difficulté d’un cran afin de conserver un chouia de challenge et d’intensité. Ghost of Tsushima étant très permissif et généreux en checkpoints, jamais une défaite ne vous pénalisera réellement.
A côté, on retrouve tout un aspect Ninjutsu et techniques d’infiltration afin d’étoffer le gameplay et matérialiser l‘évolution de notre héros, reniant petit à petit le code d’honneur buté des Samurais. Si votre katana affuté reste votre allié principal, vous pouvez également compter sur tout un arsenal mortel. Arc, kunais, bombes artisanales, fumigènes, etc… les outils ne manquent pas pour parvenir à vos fins. Les amateurs de mode s'amuseront à personnaliser sans cesse leur samouraï, jouant avec les différents accessoires et le panel de tenues qui influe sur les caractéristiques de l'avatar. Un arbre de compétences vient parachever un gameplay précis, complet et plaisant, bien qu’assez vite répétitif.
C’est d’ailleurs un reproche que l’on fera au jeu dans sa globalité, et il est temps d’aborder la partie « exploration » essentielle à tout open world qui se respecte. Si l’univers somptueux de Ghost of Tsushima enivre autant qu’il n’émerveille, son contenu, lui, s’avère beaucoup moins convaincant ! Une recette datée à base de crafting sommaire, de services redondants à rendre aux PNJs et de petits points d’intérêts prétextes à la collectionnite aigue. On se retrouve donc avec une mappemonde délaissant son brouillard de guerre au fur et à mesure de votre passage, dévoilant alors pastilles et points d’interrogations en abondance. Et si en soit le concept n’a rien de scandaleux, d’autant que l’utilisation du vent pour nous guider se révèle une idée de game-design fort plaisante, l’écriture ne vient pas en soutien. Car mis à part quelques missions un peu mieux scénarisées que la moyenne, avec notamment les apports intéressants du DLC, l’histoire ne casse pas trois pattes à un canard et on ne s’attache ni aux protagonistes principaux, ni au destin des habitants de Tsushima. Heureusement le passé de Jin et la relation avec son oncle apportent quelques élans d’intérêt. On retrouve ainsi des thèmes traditionnels : remise en question, vengeance, deuil, etc… exploitées avec plus ou moins de justesse. Sans nuire à l’intérêt général, l’histoire passe finalement au second plan et l’envie de découvrir toujours plus de territoire tout en hachant du Mongol reste la motivation principale du joueur. Ça tombe bien, on est là pour ça !
Cette review s’éternise et je ne peux conclure sans aborder l’aspect sonore du titre. Ghost of Tsushima doit beaucoup à sa bande son, usant allégrement d’instruments traditionnels d’époque pour véhiculer son ambiance atypique. Le résultat vaut le détour et, associé à un doublage japonais soigné, contribue largement aux consonances lyriques de l’aventure. Une épopée dont la durée dépendra de votre appétence à fouiller le moindre recoin de Tsushima, consolidée par la présence du DLC qui vous amènera sur l’île d’Ikki à la rencontre de votre passé tourmenté. Comptez bien 60-70h pour honorer la proposition ludique générale et arracher la majorité des secrets de ce beau terrain de jeu. Sans compter le mode en ligne "conteur de légendes", auquel j'ai eu la flemme de m''essayer après un tutoriel peu concluant.
Exclusivité Sony de qualité, Ghost of Tsushima se contente de proposer une recette plutôt convenue mais parfaitement maitrisée. Jouissant d’un cadre immersif et reposant à la fois sur une technique solide et un gameplay calibré, la recette fait preuve d’efficacité malgré quelques défauts. Et si Ghost of Tsushima manque peut-être de caractère pour laisser une empreinte impérissable dans le paysage vidéoludique, sa patte artistique lui confère un charme propre qui comblera les amoureux du japon féodal et de son folklore.
Lady_Blue a dit (21 Juillet 2024 à 18:15)
Très mignon, des musiques reposantes, mais ce n'est pas le genre de jeu addictif ^^
Je faisais au moins 2 chapitres par jour ^^
Sinon c'est vraiment mignon.
radezz a dit (16 Juillet 2024 à 17:14)
Excellent jeu pour ceux qui aiment le concept de rénovation, construction, entretien, juste il manquait la partie du jardinage (tondre les pelouses etc ...) , ce qui est fort dommage, mais peut être ont ils prévu cela dans un DLC futur !