themightywatcher a dit (16 Octobre 2024 à 15:35)
Nous sommes en 2037, Silksong est enfin sorti. Ca fait plus de deux mois que je ne suis pas aller à l'extérieur, j'ai eu le temps de finir le jeu 25 fois et je peut le dire : c'est une merveille. Le meilleur jeu vidéo de tout les temps.
Je lui met la note de 21/20.
PS: Team Cherry vient d'annoncer un troisième jeu sur Lace, on espère qu'il sortira bientôt !
Dreadz23 a dit (07 Octobre 2024 à 23:39)
Je me marre tellement a chaque nouveau niveau ! Toujours plus barré que le précédent xD
z0rr0 a dit (07 Octobre 2024 à 16:39)
La surprise de 2024 !!
Histoire et persos fun , difficulté bien dosée
le + : jeu gratuit d' Epic Games
Franz26 a dit (30 Septembre 2024 à 07:36)
Après un remaster sur PSP en 2011, affublé du titre « Let Us Cling Together », la légende du Tactical-RPG s’offre une nouvelle jeunesse sur Nintendo Switch ! Enfin traduit en Français, mieux vaut tard que jamais, voici l’occasion de découvrir un titre mythique ayant très largement inspiré l’anthologique Final Fantasy Tactics. Une version « Reborn » officiant comme porte d’entrée idéale afin de mieux appréhender l’histoire du genre.
Car oui, lorsque l’on parle de T-RPG, la saga de Quest revient souvent citée en référence. Débarquant sur une Super Nes en fin de vie puis porté sans attendre sur Playstation, Tactics Ogre a ainsi amplement contribué à la démocratisation du genre sur console. Mais je ne vais pas vous infliger un historique de la franchise, d’autant qu’elle m’est assez méconnue. Concentrons-nous donc sur le conflit qui oppose les différentes nations peuplant les îles de Valeria, théâtre de disputes incessantes pour la domination des rivages et du commerce naval. Un synopsis mature à base de complots et de vengeance, avec son lot de rebondissements et de scènes poignantes. La richesse du background et le nombre conséquent de fils narratifs complexifient vite l’histoire, et il faut un peu de temps pour se familiariser avec le contexte et les protagonistes. S'ensuit néanmoins une épopée passionnante et imprévisible.
En tant que pilier fondateur du genre et malgré un petit dépoussiérage pour l’occasion, on ne s’attardera pas outre mesure sur le gameplay du titre : fondamentalement traditionnel. Les batailles se déroulent sur des arènes fermées et quadrillées, où votre troupe se démène au tour par tour pour sortir victorieuse et, si possible, sans casse. En effet, bien que moins punitif qu’un Fire Emblem par exemple, il faut veiller à la santé de vos hommes qui, une fois au tapis et passé 3 tours, rendent définitivement l’âme. A vous de respecter les fondements de la stratégie en composant une escouade équilibrée en fonction des nombreuses classes disponibles. Chevalier, magicien, prêtre, ninja, lancier, etc… tout le gratin de l’Heroic Fantasy sera de la partie ! Les métiers sont accessibles au fur et à mesure de la progression et, en échange d’un « titre », n’importe qu’elle unité peut être promue. Les classes déterminent donc les attributs du combattant, son type d’équipement et de coups spéciaux. De plus, chaque personnage bénéficie de quatre emplacements d’objets, de parchemins et de capacités, nécessitant dès lors une micro-gestion bien personnalisée. D’autant que d’autres paramètres sont à prendre ne compte : système de faiblesses élémentaires, initiative en fonction du poids de l’équipement, etc… J’en passe, et ajoutez une intendance de l’inventaire minutieuse, avec notamment la présence de magasins et de forgerons, afin d’obtenir un système dense, pertinent et ultra complet ! Dommage que l’interface des menus, assez austère et vite surchargée en informations, n’ai pas été revue en profondeur.
On appréciera les différents zooms de caméra disponibles dans ce remaster, parade bienvenue contre les angles-morts, et la possibilité d’accélérer la vitesse de jeu pour rendre le temps d’action ennemi plus digeste. L’ajout d’une « roue de la fortune », permettant de revenir en arrière à sa guise, lisse une difficulté plutôt corsée. En effet, les ennemis ne vous feront pas de cadeaux et la configuration des arènes n’est que trop rarement votre avantage. Malgré des objectifs récurrents, limités le plus souvent à occire le chef de l’escadron ennemi, les batailles se révèlent passionnantes.
Tactics Ogre : Reborn vous tiendras ainsi en haleine des dizaines d’heures. Non seulement le périple s’avère long et difficile (avec un boss de fin totalement insane, préparez les serviettes hygiéniques : vous allez saigner du cul !), mais en sus la « replay value » est réelle compte-tenu des différents embranchements qui s’offrent à vous. Certaines décisions majeures orientent drastiquement la direction de votre quête et la suite des évènements. Un principe non sans rappeler le récent Triangle Strategy. De nombreuses zones facultatives enrichissent également le contenu et assurent tout un panel de personnages optionnels à recruter. De quoi combler les plus exigeants d’entre vous !
Ce remaster en profite bien évidemment pour revoir les textures du jeu et lisser l’ensemble, dans un rendu HD du plus bel effet mais néanmoins assez proche de la version PSP. Décors et sprites conservent leur charme old-school, pour un rendu impeccable en mode nomade. Une configuration à privilégier plutôt que projeter le tout sur l’écran plat. Des effets chiadés et de rarissimes cinématiques parachèvent cette refonte visuelle de qualité, respectueuse du matériau d’origine. Mention spéciale aux travaux des designers, Akihiko Yoshida en tête, mis en valeur par de magnifiques artworks ponctuant dialogues et menus.
La bande son a elle aussi bénéficié d’une réinterprétation moderne, entièrement réorchestrée pour l’occasion. Si la qualité des thèmes d’origines bonifiait déjà grandement l’expérience de jeu, on frôle désormais l’excellence ! Un récital maitrisé et diversifié revu par maître Sakimoto, dont l’écoute peut se prolonger via un lecteur audio intégré dans les options. Enfin, les dialogues bénéficient désormais d’un doublage japonais soigné, histoire de parachever ce constat auditif grandiose.
Tactics Ogre : Reborn nous plonge avec maestria dans une épopée sombre à l’issue incertaine, qui brille par son écriture et la richesse de ses protagonistes. Une fresque épique rondement menée, affublée de sa plus belle robe et modernisée pour l’occasion. Un Tactical-RPG d’exception qui mérite toute votre attention, même si son exigence et son extrême classicisme peuvent aussi jouer en sa défaveur. A recommander aux fans du genre avant tout.
Franz26 a dit (28 Septembre 2024 à 08:07)
Développé par Capcom avec Shu Takumi à la baguette, le papa des Phoenix Wright, Ghost Trick : détective fantôme se présente comme un jeu de réflexion novateur. Empruntant aux Point’n Click traditionnels, il se démarque par un postulat de base peu commun : la mort.
L’aventure débute donc par votre assassinat. Dans la peau d’un fantôme amnésique et en quête d’identité, il va falloir user d’étranges pouvoirs pour démêler une intrigue haletante. Car notre énigmatique héros se découvre la capacité de remonter le temps 4 minutes avant le décès d’une personne, excepté lui-même, et va mettre à profit cette faculté d’entrée de jeu. Tout le concept consiste à revenir dans le passé pour sauver tel ou tel protagoniste d’un meurtre atroce, et ainsi remodeler les évènements ubuesques qui vont se dérouler durant la nuit. De révélations en rebondissements les morceaux du puzzle se recoupent petit à petit jusqu’au dénouement final, formant un synopsis passionnant ! La richesse du casting, la qualité de l’écriture et le sens de la mise en scène n’étant pas étrangers à ce constat.
Sissel, notre fantôme au corps physique récemment refroidi, peut se déplacer d’objets en objets sur une distance limitée. Il faut donc sans cesse interagir avec le décor et tenter différentes combinaisons d’actions, souvent dans un ordre logique, pour arriver à ses fins et changer les événements du monde des vivants. Bien évidement vos tentatives échoueront plus d’une fois : pas de panique, vous pouvez remonter le temps à loisir pour tenter de résoudre la problématique d’une autre manière. Logique et observation sont ainsi nécessaires pour mener à bien cette enquête nocturne, et si quelques énigmes se révèlent un peu tordues, l’ensemble reste très accessible.
Toutes les actions se réalisent avec le stylet de la Nintendo DS, accessoire qui sied parfaitement à ce type de gameplay. Chaque lieu exploite avec brio les mécaniques de jeu, et si ces dernières semblent limitées aux premiers abords, elles conservent pourtant leur intérêt tout au long de la douzaine d’heures nécessaire à la conclusion de l’intrigue.
Visuellement, Ghost Trick : Détective Fantôme charme nos rétines avec des décors fixes fins et colorés, emplis de détails. Outre un character design atypique bourré d’humour, les nombreux protagonistes bénéficient d’une animation impeccable et d’artworks soignés. Sans transition, la bande son mérite aussi nos félicitations et accompagne brillement l’aventure avec des thèmes d’ambiance peu ambitieux mais néanmoins agréables.
Vous l'avez compris, Capcom nous livre ici un excellent jeu de réflexion ! Bien qu’assez hermétique au genre, j’ai adhéré à cette proposition ludique surprenante et me suis retrouvé happé en plein cœur d’une histoire captivante. Une expérience rafraichissante, condensée sur quelques heures de jeu bien remplies. Je recommande.
Siltar a dit (27 Septembre 2024 à 19:15)
Essentiellement pour les nostalgiques qui ont connu certains de ses titres. Techniquement, l'émulation est globalement de bonne qualité, l'intention est là, mais avec quand même des ratés (un rail shooter émulé sur PC ne prenant pas en charge la souris ?) et peu d'effort sur le nombre de titres proposés pour rendre cette compilation plus largement intéressante.
z0rr0 a dit (26 Septembre 2024 à 18:15)
Le jeu est beau mais la difficulté beaucoup trop haute meme en mode normal , mort toutes les 20s ^^
Le passage avec les 3 boulets dans le temple des araignées m'a fait desinstaller le jeu !
le + , jeu gratuit d' EPIC GAMES
Kiratsu a dit (25 Septembre 2024 à 00:48)
Ce jeu n'a pas un gameplay extraordinaire et certains diront même qu'il n'en a pas. Mais il a réussi l'exploit de me donner plus d'émotions que Life is Strange 1er du nom.
Ce fut une belle expérience