Dirigeant Richter Belmont, vous devez empêcher le seigneur des vampires de sacrifier sa bien-aimée. Faites progresser le héros parmi les nombreux tableaux du titre, en vous frayant un passage au travers des monstres et autres adversaires qui se mettent sur votre chemin.
Le jeu réunit trois épisodes :
- La version originale de Castlevania: Rondo of Blood qui n'avait pas connu jusque-là de sortie en dehors du Japon ;
- Un remake exclusif de ce même jeu ;
- Puis la suite directe nommée Castlevania: Symphony of the Night sortie sur PSOne.
Merci à gon17 qui a créé cette fiche
Le moins que l'on puisse dire c'est que cet UMD nous gâte ! L'attrait principal reste la découverte de Rondo of Blood, en version originale ou via un excellent remake. Un Castevania rigide, à l'ancienne, découpé en niveaux, ne manquant pas de charme et de secrets à découvrir ! Le lifting graphique s'avère réussi et ne dénature point l'esprit d'origine. Mais il faut l'admettre, la présence en bonus de Symphony of The Night reste non négligeable ! Je n'ai pu m’empêcher de refaire ce chef d’œuvre à 200%. Inutile de s'attarder sur le meilleur Castlevania 2D, on ne le présente plus ! Bref de quoi combler tout le monde ici : les fans de la série pourront découvrir Rondo of Blood et refaire SotN. Ceux ne connaissant pas encore ce dernier peuvent foncer les yeux fermés : ils en auront pour leur argent ! Ma note concerne donc le remake, l'UMD global mériterait plutôt 16-17. C'est dire !
Version PSP 25 h de jeuC'est avec presque 20 ans de retard que je me suis attelé à la tâche sérieuse qu'était de rajouter Castlevania Symphony of the Night à mon tableau de chasse des titres les plus cultes du monde du jeu vidéo.
Version PSP 20 h de jeuGrâce à cette compilation, c'est chose faite, je pourrai fièrement dire au tout venant que moi aussi je connais l'histoire d'Alucard ! Si la baffe que j'ai prise avec ce titre en 2015 était à relativiser avec celle que j'aurais prise en 1997... Je porterais aujourd'hui un dentier, ce n'est pas plus compliqué que cela.
Avec un gameplay souple et divin, les développeurs ont trouvé comment ouvrir la licence Castlevania au grand public. Le château ouvert et explorable à l'envi regorge de secrets, l'aspect RPG et les transformations permettent un renouveau constant dans l'aventure, le bestiaire est varié et certains boss disposent d'animations incroyables. Difficile d'imaginer que ce jeu est sorti en même temps que... Bon en fait non, je ne trouve pas de jeux sortis en 1997 à flinguer car cette année fut riche, très riche en tueries cosmogoniques.
Le coup du château inversé en guise de faux NewGame vient doubler la durée de vie déjà conséquente, et n'a rien de rébarbatif, bien au contraire.
Quant aux musiques... Je dirais simplement que cet opus de Castlevania porte son nom de la plus belle des façons. De l'art.