Burnout Paradise est un jeu de courses offrant au joueur la possibilité de dévaster une ville nommée Paradise City. Chaque intersection offre sa décharge d'adrénaline en raison d'un risque non négligeable de crashs et de carambolages destructeurs. Ce cinquième opus ouvre les portes du champ de bataille ultime pour pilotes de course.
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Un très bon jeu disposant de plusieurs atouts très efficaces tels que la bande son (des dizaines de pistes rocks à écouter en roulant en plein soleil), les nombreux véhicules (on notera par ailleurs la diversité des genres!) ou encore la taille très impressionnante de la carte et de l'environnement accessible.
Version Playstation 3 60 h de jeuA essayer, au moins pour l’expérience
Un excellent jeu à la durée de vie quasi infinie.
Version Xbox 360Bien plus agréable qu'un NFS Most Wanted (j'ai testé celui-ci car ce dernier m'était devenu chiant, par son ambiance et ses limites (customisation, flics...), ici on a souvent dans les oreilles du bon (ou acceptable) rock, et on fait pas le kéké avec le tunning et les poufiasses dans les rodéos façon Fast and Furious. Juste la ville, sans prise de tête, totalement arcade, sans flics, et avec blindé de défis, courses en tous genres, burnout et takedown...
Version PC 16 h de jeuBon, je préfère toujours les bon vieux jeux avec des courses sur des circuits en boucle fermée, comme les vieux NFS, mais bon... Là on se marre vraiment, avec ces ralentis sur des crash monumentaux, cette facilité de maniabilité totalement irréaliste, mais si jouissive... Il n'y a que les crash qui sont impardonnables, par rapport à un NFS pas exemple, ou on s'en remet en général assez bien, et un accrochage n'est pas fatal. Ici, ils font perdre de précieuses secondes, vu la vitesse des participants. Un accroc et on vole dans le décor. Il faut vraiment avoir des réflexes, et bien calculer les écarts avec ceux qu'on double ou qu'on croise.
Le soucis, c'est la mini-map ; arrive un moment, rien que poser les yeux dessus est une condamnation, ou en tout cas une énorme prise de risque. C'est assez énervant.