Jordan White et Amy Blue sont un couple de jeunes gens vierges et agités, à la vie plutôt tranquille. Lors d’une soirée a priori banale, un jeune homme blessé se jette sur le capot de leur voiture et rentre dans le bolide. Ce garçon là, c’est Xaxier Red, que Jordan appelle affectueusement X. Amy cherche à s’en débarrasser au plus vite mais ne sera pas au bout de ses surprises : menacée avec Jordan par un épicier maniaque, elle verra Xavier le descendre accidentellement mais non sans quelques taches. Le trio est en cavale, mais verra bien pire sur sa route… (source : www.horreur.com)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Merci à samtyler qui a créé cette fiche
Ce film m'a sauvé alors que j'étais moi-même au bord du gouffre (Je l'ai vu il y a plus de 10 ans).
Enfin un réalisateur qui me comprenait.
Enfin je n'étais plus seul.
Même si je pense toujours ce que dit Amy Blue dans le film :
"Il n'y a juste pas de place pour nous dans ce monde"
Merci à Gregg Araki, un des seuls cinéastes (avec Larry Clark) à réellement s'intéresser à la jeunesse < bien plus perdue qu'on ne le croie > de ce monde cruel. Et à la comprendre.
Si vous avez des parents qui avaient une vingtaine d'année en 1968 et qui ont été gâtés par cette époque (Boulot, logement, argent, tout était facile...) au point d'oublier de communiquer avec leurs enfants, voire même de les aimer, je pense que ce film ne pourra que vous réconforter.
Sam.
A mettre directement dans la catégorie "inclassable" ! Si j'ai plutôt apprécié le côté décalé du film l'ensemble ne m'a guère convaincu. Vraiment trop bizarre XD.
Une série B 100% jusqu'au-boutiste dans tous ses aspects.
Déjà le côté fun et déjanté poussé à l'extrême, qui fait que le film crée son propre univers, sa propre réalité (il suffit de voir à quel point les scènes où les flics les cherchent sont en décalage avec le reste).
Ensuite, les personnages complètement caricaturaux qui amènent à des scènes toutes plus loufoques les unes que les autres.
Et enfin, le côté "symbolisme" assez omniprésent dans le monde des séries B où on n'hésite souvent pas à mettre à mal la cohérence du récit pour y instaurer des symboliques fortes (par exemple le fait que dans les films d"horreur on trouve souvent des gosses qui se cachent sous leurs draps quand un monstre les poursuit etc.). Ici on retrouve beaucoup de ces symboles glissés tout au long du métrage, et en grattant sous la surface on peut y trouver un fond vraiment riche.
Une très bonne découverte.