Pierre Clémenti raconte sa vie de bohème avec mélancolie. Ses années d'emprisonnement en Italie, sa mère adorée, les rues de Paris, Marie-Laure de Noailles... Comme si Rimbaud s'était saisi d'une caméra. Clémenti écrit : « Ce dernier film est celui que je préfère... J'ai laissé ma plume au vestiaire le jour où les mots se sont envolés, le jour où les mots ont perdu leur sens. »
(source: la cinémathèque française)
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