La dérive d'un ex-boucher chevalin, d'abord à Lille, puis à Paris où il s'installe à l’hôtel de l'Avenir et tente de refaire sa vie. Peu à peu, il se replie sur lui-même. Sans un sou et avec pour seul compagnon un revolver charge de trois balles, il ne voit plus clairement quel est le moteur de sa vie. Son ventre lui crie de se nourrir. Son cerveau lui ordonne de se venger. Quant à son coeur... Au bout du tunnel, l’imprévu surgit toujours.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
"Je suis une misérable bite. Et pour me faire respecter, il faudra que je reste toujours bien dur."
Film le plus déprimant que j'ai vu. Un grand monologue de tristesse, d'amertume, de colère et de désespoir. Ce qui à complètement ruiné ma journée. Je ne sais pas vraiment quoi penser de ce film. C'est juste une heure et demie de film sur un salaud agressivement désagréable prononçant sa philosophie inintéressante. Pas un chef-d'œuvre, pas quelque chose qui va vous faire changer la vision que vous avez sur vous-même, non, c'est juste comment un homme tombe dans la dépravation petit à petit. Ce film est pour les personnes ayant un fort sentiment de morale. Ça n'a pas pris sur moi surement parce que je l'ai regardé à 6h du matin ou tout simplement parce que ça me faisait chier j'ai grandement eu du mal à le finir jusqu'au bout.
La détresse sociale de la France post-industrielle en 1h30 de monologue. Grande réussite vu le peu de moyen, Noé sacrifie quasiment tout au message. Un bon petit film social français, mais qui part complétement en couille à la fin avec un délire incestuo-libertaire fantasmatique de Gaspar Noé.
En gros on passe de = les riches sont des salauds à = Pourquoi interdire l'inceste puisque finalement le père et la fille sont consentant?