Paris, février 1817, trois ans après la Chute de l'Empire, l'avoué Derville reçoit la visite d'un vieillard misérablement vêtu. Il assure être le colonel Chabert, passé pour mort, à la bataille d'Eylau en 1807. Il avait alors contribué à la victoire en conduisant une charge de cavalerie devenue célèbre. Le vieil homme raconte comment, se réveillant dans un fossé entre des cadavres, il a survécu à ses blessures. Il revient dix ans après et souhaite réclamer son titre, faire valoir ses droits et revivre avec sa femme. Celle-ci, durant son absence, s'est mariée avec le comte Ferraud. Mais celle-ci le repousse et refuse de reconnaître son premier mari. L'avocat accepte d'aider le colonel en proposant une transaction à son ex-femme. Celle-ci refuse et tente plutôt de manipuler son ex-mari. Chabert n'est pas dupe, et dégoûté par la corruption des hommes, il sombre dans la folie et la misanthropie, mettant fin à la procédure de divorce/résurrection qu'il avait tant poursuivie...
Adapté du livre Le colonel Chabert de Honoré de Balzac
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à Mandarine qui a créé cette fiche
Parmi les charges de cavalerie célèbres, il y a Reichshoffen, la brigade légère (Balaklava), mais l'une des plus importantes a été celle menée à Eylau par Murat. Objet d'une des scènes du film d'Angelo, elle aurait été filmée grâce à la participation de la Garde Républicaine. Si la scène filmée a été historiquement discutée au niveau de la reconstitution, il reste que l'impression sur le spectateur est tout a fait performante.
Depardieu et Luchini sont parfaits de sensibilité...