L’intrigue est centrée sur Antonina Miliukova, une jeune femme belle et brillante, née dans l'aristocratie russe du XIXe siècle. Elle pourrait avoir tout ce qu'elle désire, mais son obsession est d'épouser Piotr Tchaïkovski, dont elle tombe amoureuse dès qu'elle entend sa musique. La seule raison pour laquelle le compositeur acceptera finalement cette union est de mettre fin aux rumeurs à son sujet. Ne ressentant aucun amour, et la rendant responsable de ses malheurs et de ses dépressions, Tchaïkovski tente brutalement de se débarrasser de son épouse. Consumée par ses sentiments pour lui, Antonina décide d'endurer et de faire tout ce qu'il faut pour rester avec lui. Humiliée, disgraciée, rejetée, elle sombre peu à peu dans la folie…
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Le film traite de l'emprise, d'à quel point l'obsession nous empêche de vivre, nous bouche l'horizon. Plutôt intéressant même si le film a des défauts, c'est longuet, je suis pas vraiment rentrée dedans, notamment du fait que les personnages ne soient pas entiers, crédibles, compréhensibles. Ça manque de sentiments, de matière. C'est rectiligne, plat. Ça manque de substance, de débat, de discours, de point de vue. La neutralité du réalisateur pour ses personnages n'insuffle aucune vie. Cela donne un film complètement désincarné.
Ensuite il n'y a rien de bien nouveau ni visuellement ni dans la façon de raconter cette histoire. C'est franchement pas révolutionnaire. Dommage.
Immensément déçu, j'ai trouvé ça absolument ABOMINABLE.
Grotesque de bout en bout, rien ne nous sera épargné. Vacarme assourdissant, calvaire interminable achevé par cette chute au ralenti
Et quel aveu d'échec que la fin
Amoureux de L'été et de Petrov, notre déception fut vive face à ce film qui hélas s'enferme avec son héroïne...
Extrêmement long et laborieux. Même si le film se focalise sur le lent enfermement et calvaire de son épouse, il réussit l'exploit de ne quasiment pas contenir une note de Tchaikovsky malgré une musique très- voire trop- présente !