Mark est coincé dans une boucle spatio-temporelle. Il revit sans cesse la même journée. A la bibliothèque, il rencontre Margaret qui croit à la notion de " boucle ". Ensemble, ils cherchent tous les faits incroyables - qu’ils soient grands ou petits - qui se déroulent ce jour-là.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Non renseigné
Merci à Tix qui a créé cette fiche
Amazon a eu l’idée géniale de sortir deux films sur les boucles temporelles le même jour ! (Non je rigole)
Et je pense, qu’après « Palm springs » on est assez déçu, bien qu’encore une fois on connaît encore le concept vu des millions de fois. Ici, le film s’y perd car déjà les personnages citent les films novateurs du genre mais ici les protagonistes ne veulent pas quitter cette boucle pour vivre leurs histoire d’amour alors certes c’est mignon mais c’est très long... le film prend des airs assez indés, nous offre des belles photographies mais je trouve le film trop moi en soit rien ne se passe vraiment durant ce film à part un amour impossible dans une boucle temporelle. Dommage, c’était prometteur....
Très mignonne comédie romantique coincée dans une boucle temporelle.
Formellement le film ne révolutionne pas le genre, en revanche il préfère s'affranchir de la scène un peu pénible où le héros comprendrait qu'il est dans une boucle et qui donne au spectateur 3 longueurs d'avance. Ici quand on prend le film, Mark a déjà vécu la journée des centaines de fois, et il lui suffit de citer (peut-être un peu trop fréquemment) le modèle Groundhog Day de 1993 ou encore de rendre hommage à Back to the Future dans sa première scène (lorsque Mark va à l'école en s'accrochant aux voitures) pour laisser la magie opérer.
La manière dont le film insère et réutilise ses plans pour montrer la répétition est plutôt habile, et l'écriture un peu naïve mais jamais mièvre rend les personnages attachants. Quand ce Mark trop sûr de lui comprend qu'il n'est pas le centre du monde, c'est le moment que le film choisit pour ramener Margaret au premier plan et finir brillamment le film, avec toute la mélancolie et la poésie dont on avait besoin.
Le gros malheur du film c'est qu'il sort après Palm Springs, avec lequel il a beaucoup de points communs. Pour moi ils coexistent assez bien. Palm Springs, un peu plus mature peut-être, sentait bon l'été mais s'enlisait dans le dernier tiers avec son explication scientifique sans intérêt. The Map of Tiny Perfect Things, lui, préfère assumer son histoire teen et poétique et prend vraiment de l'ampleur et de la symbolique dans son final.