Lorsque le gérant de hedge fund, le milliardaire James King, est arrêté pour malversations financières et condamné à être incarcéré au pénitencier de San Quentin, le juge lui accorde 30 jours pour remettre ses affaires en ordre. Aux abois, il s'adresse à Darnell Lewis pour le préparer à la vie en prison. Mais en dépit de ses préjugés de milliardaire, James s'aperçoit que Darnell, patron d'une petite entreprise de lavage de voiture, est un gros bosseur qui n'a jamais été verbalisé de sa vie, et encore moins incarcéré. Ensemble, les deux hommes mettent tout en œuvre pour "endurcir" James et, par la même occasion, découvrent qu'ils se sont trompés sur pas mal de choses – y compris l'un sur l'autre (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Apparition
Merci à s-68 qui a créé cette fiche
James King n’a peur de rien, ni des blancs, ni des noirs, et encore moins des parasites qui font de sa vie une aventure assez inédite. Rien de rien, dites-vous ? Et bien si ! James King a la frousse lorsqu’on lui parle prison et, plus précisément, San Quentin ! Malheureusement, le hasard faisant très mal les choses, il risque de s’y voir propulsé dix ans durant et souhaite donc un peu par hasard que son car wash men lui donne l’aura d’un caïd des cités. Joué d’avance ? Certainement pas car la vie lui jouant des tours, ce gérant de fond de pension va rencontrer une multitude de situations loufoques. Le pitch, originale et ambitieux, avait de quoi donner à Will Ferrell un large champ d’action : le constat est pourtant différent sans pour autant se montrer navrant. Etan Cohen et Adam McKay (fidèle disciple de la Frat Pack ayant déjà tourné à de nombreuses reprises avec l’acteur) ne parviennent jamais à trouver un juste équilibre et parsèment leur film tantôt de séquences d’anthologie, tantôt de farces grasses peu stimulantes. Il y avait probablement mieux à faire bien que cela n’entache en rien le plaisir d’un spectateur fidèle à Will Ferrell qui découvre ou redécouvre cependant que Kevin Hart possède une grande force comique.
Amusant, ils jouent bien avec les clichés pour les retourner (sauf les clichés sur la prison : je ne sais pas le détail de comment c'est en vrai aux Etats-Unis, mais on est bien dans le cliché)
J'ai eu peur qu'on reste sur "Ouh, le pauvre riche, il est accusé injustement, arrêtons la cabale contre ces pauvres riches" mais, outre que c'est indispensable pour l'histoire, ça va bien puisqu'au final c'est tout de même la faute d'un riche, + la blague de fin sur "Il fait tout de même six mois de prison parce que la loi s'applique sur un truc illégal qu'il a fait lors des péripéties, la loi c'est pour tout le monde" :)