Amateur de jazz dans les années 1950, Albert Pierru réalise des courts métrages qu'il nomme « films sans caméra ». Inspiré par les dessins animés de Norman McLaren, il peint et dessine directement sur la pellicule, gratte l'émulsion et propose ainsi des films surprenants, très colorés et particulièrement rythmés.
(source: la cinémathèque française)
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