Librement inspiré de neuf nouvelles et d'un poème de Raymond Carver, "Short Cuts" et un voyage à travers le Los Angeles des années 90, une fresque intimiste ou s'entremêlent les destins contrastés de 22 personnages aux prises avec les drames, les émotions, les plaisirs, les surprises et les hasards de la vie quotidienne.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Merci à Achranide qui a créé cette fiche
Il va être temps de nous reconfiner tant il fut difficile en cette journée de samedi d'être tranquille pour visionner ce long-métrage de 3h. En d'autres termes, j'ai littéralement foiré mon visionnage qui a été découpé en 3 intercalaires selon les allers et venus des visiteurs à la maison.
Qu'en dire si ce n'est que le casting est dingue et que la connexion des couples et des histoires entre elles sont assez grandioses. L'humour fonctionne très bien à certains moments (j'ai rigolé pour la scène de l'hélicoptère qui asperge les populations, la femme du flic qui lui dit de rentrer à la maison parce que c'est cancérigène ou plutôt d'aller fumer pour se calmer ; la scène de la bougie sur le gâteau d'anniversaire (il vaut mieux en avoir une grosse que plusieurs petites, sous entendu tes amants ne seront jamais à ma hauteur...).
Si certains personnages sont attachants (et encore, difficile d'écrire personnages avec un s), d'autres le sont beaucoup moins et leur destin ne m'intéresse pas. Altman dose entre comédie et tragédie, offre un enchaînement de scènes assez remarquables mais je n'en ai pas grand chose à faire, ni des uns ni des autres, sans que les personnages ne me paraissent antipathiques pour autant...