Paris, 1828. Sur le boulevard du Crime, au milieu de la foule, des acteurs et des bateleurs, le mime Baptiste Deburau, par son témoignage muet, sauve Garance d'une erreur judiciaire. C'est ici que commencent les amours contrariées de Garance, femme libre et audacieuse, et de Baptiste qu'elle intimide et qui n'ose lui déclarer sa flamme. Mais aussi ceux de Nathalie, la fille du directeur du théâtre, qui aime Baptiste, et de Frédérick Lemaître, un jeune acteur prometteur, qui entame une liaison avec Garance, tandis que cette dernière aime aussi Baptiste en secret.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Merci à Pieuw qui a créé cette fiche
Ce film est vraiment sublime... Je le trouve assez bien fait, cela nous montre la vie au XIXe siècle vue de des années 45..
Sublime, en effet. Surtout sur les passages "théâtre et pantomime" qui sont un régal. Pour le reste, les dialogues sont très bien écrits et poétiques (normal quand on voit qui est derrière) et la version restaurée offre une qualité visuelle de premier choix. Si l'ennui a pu pointer le bout de son nez c'est uniquement du à la longueur un peu excessive du film. Et si un regret a fait surface c'est celui de ne pas avoir eu droit à une conclusion digne de ce nom. Car le film se termine un peu en queue de poisson et c'est bien dommage.
En fait un troisième volet était prévu Pieuw qui devait relater le procès de Lacenaire, malheureusement à cause des aléas (libération etc.) il ne s'est jamais fait...
"Paris est tout petit pour ceux qui s'aiment comme nous d'un si grand amour"
Monument du cinéma français indétrônable, certes long mais il vaut le coup, c'est de la beauté à l'état pur.
Magnifique !!
Je n'ai pas besoin d'ajouter d'autres mots...
À voir !!
Une merveille tournée en pleine occupation allemande, aux coulisses assez formidables pour y consacrer un téléfilm (Arletty, une passion coupable).
Les enfants du paradis est une superproduction de 1945 avec Prévert à la plume : le résultat est aussi spectaculaire que promis.
Marcel Carné, Jacques Prévert qui nous ont offert ce bijou en pleine occupation, avec une Arletty extraordinaire.