Arrivé à la moitié de sa vie, un homme malade se penche sur son passé. C'est son enfance tout d'abord qui lui revient avec la vision de sa mère attendant le retour improbable de son mari, puis le souvenir de sa femme dont il s'est séparé le hante. Passé et présent se mélangent dans l'esprit d'un homme qui cherchait "seulement à être heureux".
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Premier film de Tarkovski qui me laisse aussi insensible.
J'ai juste pas réussi à rentrer dans l'histoire, à comprendre où il voulait en venir. Si d'habitude la lenteur du rythme sert à constituer une ambiance permettant de magnifier le fond, l'histoire, ici le fond me parait tellement décousu (osons le dire, bordélique) que j'ai juste eu l'impression que c'était lent pour être lent, sans but.
C'est de la peinture, ou un morceau de chanson. J'ai eu l'impression d'avoir eu sous les yeux l'expression libre et absolue du cinéma (dans sa forme surtout). C'est comme si le film se montrait seul, aussi réel et légitime que la "vraie" vie (adjectif de distinction absurde). Bref, en voyant ça l'existence reprend une feuille d'épaisseur et c'est coool :) J'ai pas tout compris, je m'en fiche un peu, je sais pas quoi dire tellement le film donne à penser vu qu'il est une entité à part entière en face du spectateur, comme une autre personne avec ses pensées et ses histoires, c'est tout.