La Dame en Noir 2 : L’Ange de la Mort

Autant le premier me laisse un très bon souvenir, autant celui-ci me laisse un goût amer, j'ai été vraiment déçue par l'"intrigue". C'est bien plus thriller qu'horreur.

ça commençait bien, avec l'ambiance si oppressante et particulière du premier, puis ça finit en film ultra lisse et sans suprise.
Le scénario est sans intérêt, les personnages mal écrits (MAIS QUE FOUT CE PILOTE DANS LE FILM) et le film use et abuse de scare jumps tous plus téléphonés les uns que les autres. A défaut de pouvoir se mettre à niveau, le film emprunte de nombreuses idées à Conjuring et Sinister (deux étalons du genre) sans arriver à en faire quelque chose de bien.
Très passable.

L'ambience est sympa, la photographie aussi et... c'est tout. l'image de fin reflète tout le film qui compte sur ses jumps scare pour faire peur à défaut d'avoir une histoire correcte, qui n'obtient même pas une explication convenable.
sans parler des effets vu et revu qui n'apporte rien à l'histoire ( un enfants qui ne parle plus, une femme avec un passé difficile, et des personnage qui ne servent à rien. ).
À éviter.

Je trouve les critiques un peu dures envers ce film. Certes, ce n'est pas du grand niveau horrifique; mais pas réellement en-dessous du premier, en fait, devant lequel je n'avais eu absolument aucun sursaut. Devant celui-ci non plus. En un sens, on pourrait dire qu'ils sont dans la même lignée...

Si le film ne prend pas la peine de s'étendre en explications, c'est simplement parce que le spectateur - supposé avoir vu le premier volet - sait déjà qui est la Dame en Noir. Ce qu'on comprend moins, c'est pourquoi cette dame, dont la colère devait avoir été calmée par Harry Potter aheeem... J'veux dire, Arthur... revient emmerder le monde dans son manoir, là.

Très franchement, en ce qui me concerne, ce point un peu sombre est le seul aspect sur lequel La Dame en Noir 2 est en-dessous du premier. En fait, cette suite emprunte tellement au film d'origine - grosso modo, on retranspose l'histoire un siècle plus tard - qu'il joue plus la facilité qu'autre chose.

On est donc face à une suite inutile, mais pas foncièrement mauvaise. Il est certain que la Dame en Noir 2 ne marquera pas les esprits et je dois confesser que le souvenir qui m'en reste après un an est un peu flou. Cela dit, je me rappelle quand même avoir passé un bon moment devant. Sans surprise, sans coup de coeur, mais sans déception.

Stressant, étouffant et palpitant, l’excellent « La dame en Noir » du réalisateur James Watkins a fortement marqué les esprits lors de sa sortie en 2012 grâce à sa mise en scène sombre et son image très lugubre, le tout porté par un Daniel Radcliffe en parfaite maitrise de ses capacités. C’est donc sans véritables surprises que la Hammer décida de réaliser un nouvel opus qui se déroule non pas avant (l'origine du mythe) mais quarante ans après les événements terrifiants survenus dans la petite ville de Crythin Gifford. Aux manettes, Tom Harper, un britannique inconnu qui signe ici à trente-cinq ans son premier long-métrage, épaulé par le producteur du premier volet Simon Oakes. Situé dans en pleine Seconde Guerre Mondiale, « La Dame en Noir 2 : L’Ange de la Mort » est une cruelle déception qui ne tient pas ses promesses à défaut de se montrer visuellement très travaillé. S’il vient à confronter les enfants à leurs peurs les plus viscérales, il n’en est pas de même pour un spectateur plus âgé qui peine à se distraire et attend inlassablement un dénouement qui, lui-même, est encore plus décevant que le reste. Très (trop) gentil compte beaucoup, cette nouvelle production britannique se camoufle derrière un titre accrocheur et surtout derrière le succès du film de 2012. Et cela est relativement honteux, il faut se l’avouer.

Effectivement, c'est mauvais. Par contre, à certains moments, cela me faisait penser au film "Mamà", et ce coté n'était pas assez développé.

La novélisation est d'ailleurs bien meilleure.

Suite pas digne de son prédécesseur, la seule image qui m'a plus est celle des mains jaillissant du fond du lac, à la fin. Pas grand-chose, donc.

Il m'a fait un peu plus peur que le second, j'ai un peu plus apprécié celui ci que le premier, par contre le pilote je pensais qu'il allait avoir un rôle plus intéressant que ça. J'ai été déçue.